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Thursday, June 25, 2009

AOV - Angle of View

Very technical, but soo interesting for those who dare dive in it !
My beloved Rebel Xt's DSLR is an APS-C (1.6x)

It a B&H article. You can find it here until it's archived.

The "reproduced version" follows...

Angles-of-View
A Cure for Chronic Millimeter Malaise
By Allan Weitz

In an earlier chapter of my life I taught photography part-time at a local community college. One of my co-workers, a fellow named Pietr, whose last name I could never pronounce let alone spell, had a novel way of introducing his Photo 101 students to their cameras. He would start off by having them wander about, focus on things that catch their eye, and before pressing the shutter button, peer over the viewfinder and try to visualize where the borders of the image were based on what they saw in the viewfinder.

When he felt they understood the point of this exercise, he gave them their first assignment. But before they left for the day he did one more thing… he covered the viewfinders of each of their cameras with black tape. Like pilots flying a plane in pea soup fog, they had to shoot the assignment by 'feel' (minus the crash-and-burn factor). What was interesting is how many strong images were produced by many of the students, and I attribute it to Pietr's methodology of teaching them to be able to pre-visualize the image based on an understanding of the camera lens's angle-of-view.

In the beginning…
Not long ago, when film was the only game in town the angle-of-view (AOV) of any given lens was a known entity. This was due to the near-universal acceptance of 35mm film as the format of choice among professionals and amateurs alike. Medium-format and larger-format cameras had their place in the world, but for the vast majority of photo enthusiasts, 35mm film was the mother tongue of photography.

As such, it was easy to describe a lens according to its focal length. A 28mm lens was always a wide-angle lens and a 105mm lens was always the ideal portrait lens. Shooting sports? You'll want a lens of at least 300mm, maybe longer. But that logic no longer holds up in practice.

But that was then… and now we're digital
Today the parameters and logic of the traditional 35mm camera system are greatly compromised by the multiple format choices made available by camera manufacturers. Currently there are 5 DSLR sensor sizes; full-frame, APS-H (1.3x), APS-C (1.5x & 1.6x), Foveon (1.7x), and 4/3 (2x). Add to this equation the 5 quirkier-sized sensors found in point-and-shoot digicams (2/3", 1/1.6", 1/1.7", 1/1.8", & 1/2.5") and you wind up with a total of 10 distinct imaging formats.

For the record, only the 5 larger DSLR sensor formats have reliable magnification factors (1.5x, 1.6x, 2x). For the 5 smaller point-and-shoot cameras, it's still the Wild West when it comes to the measurement standards. That said it makes sense to focus on the AOV factor when comparing lenses from one format to another. To better illustrate the differences between the various imaging sensors we've included the following sensor-size comparison chart.



OK… now what?
The result is we can no longer accurately reference lenses in terms of millimeters because depending on which camera you are using, a 100 mm lens, a 50mm lens, and a 17mm lens can produce images with near-identical fields-of-view.

To eliminate all this confusion, perhaps it's time to stop thinking of lenses in terms of millimeters and instead identify lenses in terms of their angles-of-view. Angles-of-view (AOV) are a constant. An 84° AOV will always identify the lens as a wide-angle. On a DSLR containing a full-frame (24x36mm) sensor this would translate into a 24mm lens, while on a Leica M8 (1.3x) it would be closer to an 18mm lens, and a 12mm lens on a 4/3-system camera (2x). There will be subtle differences between each of the resulting images based on the sensor size, but the angle-of-view will always appear the same.

Note- The angle-of-view (AOV) and field-of-view (FOV) of a lens are similar but distinct in the way they describe the measurements (length, width, and/or diameter) of a photographic image. The field-of-view is a linear measurement of the image in feet, inches, meters, etc, while the angle-of-view is the length, width, and/or diameter of the image described in terms of degrees of viewing coverage.

To (hopefully) shed light on the subject, I have assembled the following AOV chart, which illustrates the relationships between the focal lengths of lenses and the 10 format options afforded by our cameras. Because of the variety of point-&-shoot chip sizes – and the way manufacturers measure them – we decided to enter focal-length ranges instead of specific fixed focal lengths because breaking it down to exacting focal lengths would be akin to water boarding.

In a sense, this point-of-view is the opposite of the way manufacturers describe lenses as being 'equivalents of a such-and-such millimeter lens on a 35mm camera'. By letting go of the 35mm reference points you can start thinking of lenses in terms of their respective (and easier to reconcile) angles-of-view regardless of the optic's millimeter ranking.

Friday, June 19, 2009

Lost Generation



Commentez !
J'ai été renversé !!

Tuesday, June 16, 2009

René Richard

Histoire de vous donner un éventail plus large de ce qui me passionne, voici René Richard. Un artiste que j'ai pris quelques temps à apprécier mais qui aujourd'hui me fascine par sa composition unique, ses choix de couleurs, ses traits riches, énergiques et la pureté des thèmes choisis.



Un grand maître de chez nous qui a été découvert par mes parents lors d'une rencontre fortuite avec M. Gilles Brown de la galerie Clarence Gagnon. ...allez vous égarer dans la salle d'exposition des grands maîtres ou dans l'onglet "artiste"

Pour une fois, maman, je reconnais que m'avoir traîné dans les musées d'art étant petit aura servi à quelque chose ;-)

Friday, June 05, 2009

Jacques Prévert

J'ai trouvé hier quelques citations colorées de Jacques Prévert. Je vous laisse apprécier :


"J'ai pensé parfois mettre fin à mes jours, mais je n'ai pas su par lequel commencer."


"Dieu fait ce qu'il peut de ses mains, mais le diable fait beaucoup mieux avec sa queue."


"Untel est mort. Pourquoi irai-je à son enterrement puisque, j'en suis certain, il n'ira pas au mien?"




Et pour ceux qui souhaitent en connaître plus sur lui, sans trop d'efforts, voici

Au fait, c'est lui qui a fixé le terme "cadavre exquis"
_ _ _

Thursday, June 04, 2009

La systémisation sociologique



Elle est excellente ;-)

Un peu beaucoup, trop peut-être, de moi. Éventuellement je vais vous partager toutes ces simplifications sociologiques, ou plutôt tentatives de systémisation sociologiques.

Saturday, May 30, 2009

Textes tapas - Lancement

Voilà, je me lance dans le vide de votre appréciation.
J'ouvre aujourd'hui toutes grandes les fenêtres sur mes écrits et ce, via un nouveau blog, Textes Tapas.


À quoi bon attendre, de quoi ai-je peur ? En alimentant la discussion, je "dérange" le système plus tôt dans ma vie. Où tout ceci va me mener, je ne le sais pas. D'ailleurs je ne sais pas non plus où j'irais si je gardais tout ceci pour moi.


Voici donc, sorti tout droit de mes nombreux cahier d'écriture, des textes que j'ai
écrits, anciens et nouveaux, de tous les styles, histoire de vous
délecter l'esprit avec des surprises. Tout comme les "tapas", vous pouvez les déguster un à un, ou plusieurs à la fois pour les gourmands.


J'espère que vous allez aimer. Si vous n'aimez pas, à tout le moins faites-moi un commentaire constructif afin que je retravaille le tout.

PROJET
J'ai un projet que j'aimerais réaliser avec votre aide et qui part de ces textes. Je souhaite mettre ces textes en images. L'interprétation que vous ferez de mes textes sera basée sur votre expérience personnelle. Je vous invite, la main grande ouverte, à me soumettre photos et textes qui seront inspirés par ce que j'ai écrit. Je vais joindre ce que vous allez m'envoyer aux textes correspondant.

Mon image préférée précèdera le texte, les autres suivront. C'est comme un combat des images.

Plongez dans cette fenêtre sur mon esprit ;-)

Sébastien

E: 30 mai 2009

Friday, May 29, 2009

Fusée


Water Rocket.

Ok, c'est pour les bas bruns, ... les "ing" qui ont des matrices dans le sang, des crayons dans la poche de chemise, des calculatrices scientifiques pouvant envoyer une fusée sur la lune dans la poche arrière de leur jeans et... des bas bruns.

Mais, c'est un rêve de papa enfant !!!

Water Rocket !

Amazing

Je "post" depuis mon iPod Touch assis dans mon bain. Trop cool!!
- Oups, ce n'est pas Twitter... -

Wednesday, May 20, 2009

Film : HOME

Synopsis
En 200 000 ans d'existence, l'homme a rompu un équilibre fait de près de 4 milliards d'année d'évolution de la Terre. Le prix à payer est lourd, mais il est trop tard pour être pessimiste : il reste à peine dix ans à l'humanité pour inverser la tendance, prendre conscience de son exploitation démesurée des richesses de la Terre, et changer son mode de consommation
.

Voilà, c'est un rendez-vous pour le 5 juin. Vous pouvez le télécharger le matin du 5 juin à cette adresse.

Film en anglais : HOME (Vous pouvez choisir la langue dans le coin supérieur gauche du site)

Cocktail DB

Hey, j'ai un ami avocat. Du genre qu'il trouve mon site trop... ésotérique. Bien pour lui, j'ai pensé ajouté ceci: Une base de donnée de cocktail. Il me semble que pour se détendre l'esprit, c'est ce qu'il lui fallait ;-)

Voir ceux-ci:
- Mojito
- Sex on the beach

Thursday, May 07, 2009

LEGOFESTO



Un trippeux de LEGO qui s'exprime sur la guerre et la violence policière.

LEGOFESTO

Cool

La photo infinie

Commencez par 20 clics de "profondeur".
Vous devriez commencer à comprendre ! ;-)

La photo infinie

A-M-A-Z-I-N-G


... mon pari : une combinaison de mathématiques fractale et de photos associées à un pixel de couleur. Hot quand même ! J'aimerais bien voir Michel H. coder ça en assembleur !

12 reasons to stop drinking bottled water

Une suggestion de Fred.
C'est un texte excellent !

Le texte

La source, un blog fort intéressant lui même ;-)

Au cas où le lien se perdrait... voici le texte :


December 29th, 2008 - David ?
It is a common misconception for many people that bottled water is safer than tap, plastic bottles get recycled, and no harm is being done to the environment in the bottling process. Unfortunately, that could not be further from the truth! So in case you either needed more reasons to stop drinking bottled water, or a few extra talking points when discussing with your friends, I have assembled 12 solid reasons to kick the bottled water habit:

1- American tap water is among the safest in the world.
2- As much as 40% of the bottled water sold in the U.S. is just filtered tap water anyway. Be sure to check the label and look for “from a municipal source” or “community water system”, which just means it is tap water.
3- By drinking tap water, you can avoid the fertilizer, pharmaceuticals, disinfectants, and other chemicals that studies have found in bottled water.
4- Tap water costs about $0.002 per gallon compared to the $0.89 to $8.26 per gallon charge for bottled water. If the water we use at home cost what even cheap bottled water costs, our monthly water bills would run $9,000.
5- 88% of empty plastic water bottles in the United States are not recycled. The Container Recycling Institute says that plastic water bottles are disposed of (not recycled) at the rate of 30 million a day.
6- Plastic bottles can leach chemicals into the water if left in the sun, heated up, or reused several times.
7- Production of the plastic (PET or polyethylene) bottles to meet our demand for bottled water takes the equivalent of about 17.6 million barrels of oil (not including transportation costs). That equals the amount of oil required to fuel more than one million vehicles in the U.S. each year. Around the world, bottling water uses about 2.7 million tons of plastic…each year.
8- Bottled water companies mislead communities into giving away their public water in exchange for dangerous jobs.
9- It can take nearly 7 times the amount of water in the bottle to actually make the bottle itself.
10- On a weekly basis, 37,800 18-wheelers are driving around the country delivering water.
11- The EPA sets much more stringent quality standards for tap water than the FDA does for the bottled stuff.
12- One out of 6 people in the world does not have safe drinking water, and about 3,000 children a day die from diseases caught from bad water…that we know of. This while Americans spend about $16 billion a year on bottled water.


Have you kicked the bottled water habit? We finally did a few years ago, when we started using reusable bottles and filtered tap water from our house. So what do you think? Think we can encourage more people to get rid of their bottled water?

Philo des balles de golf dans le pot

Bien oui, c'est un peu "kitch". Mais il y a un fond de vérité que j'endosse et que j'applique. Alors c'est un peu de moi dans ce pot ;-)

J'aime bien la finale, différente de ce que je lis habituellement. Elle rejoint encore une fois, mes valeurs que j'oublie parfois. À notre retour de voyage, je clamais qu'il y aurait toujours une théière de prête pour les passants. Notre porte est toujours ouvertes, mais c'est plaisant de se le faire rappeler.

Finalement en vous présentant le texte ici, j'évite de polluer vos "inbox".


L'histoire d'un pot de mayonnaise et de café.



Quand il te semble qu'il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24
heures ne te semblent pas suffisantes… Rappelle-toi du pot de
mayonnaise et du café !


Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe,
prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à
le remplir avec des balles de golf.

Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants
étaient d'accord pour dire que OUI.

Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le
pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les
balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein.
Ils dirent à nouveau OUI.

Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans
le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces
vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein. Les
étudiants répondirent unanimement OUI.

Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu
du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre
les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire…

Quand ils eurent fini, le prof dit :« Je veux que vous réalisiez que
le pot de mayonnaise représente la vie.

Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille, les
enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même
pleines si on perdait tout le reste et qu'il ne nous restait qu'elles.

Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, la
maison, la voiture, etc...
Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie.

Si on avait versé le sable en premier, il n'y aurait eu de place pour
rien d'autre, ni les billes ni les balles de golf. C'est la même chose
dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps
pour les petites choses, nous n'aurons jamais de place pour les choses
vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales
pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d'aller
chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer
ses loisirs favoris. Il restera toujours du temps pour faire le
ménage, réparer le robinet de la cuisine… Occupez-vous des balles de
golf en premier, des choses qui importent vraiment. établissez des
priorités, le reste n'est que du sable. » Un des étudiants leva alors
la main et demanda ce que représente le café. Le professeur sourit et
dit :« C'est bien que tu demandes. C'était juste pour vous démontrer
que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura
toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. »

Wednesday, May 06, 2009

Termes légaux

Histoire de vous écoeurer un peu, je vais vous montrer jusqu'où je pousse ma curiosité intellectuelle ;-)

Commanditaire n.m:
Membre d'une société en commandite qui ne détient aucun pouvoir de gestion et qui n'est responsable des dettes de la société que jusqu'à concurrence de son apport.
Engl.: Limited partner


Commandité n.:
Membre d'une société en commandite qui détient tout les pouvoirs de gestion et de direction, et qui répond, conjointement et solidairement avec les autres commandités et de façon illimitée, des dettes de la société.
Engl.: General partner


Commandite n.f.:
Fraction du capital d'une société en commandite qui a été versée par les commanditaires
Engl.: Limited partership


Mandant n.:
Personne qui confère un mandat à une autre.


Mandataire n.:
Personne à qui est conféré un mandat.


Source: Reid, Hubert, Dictionnaire de droit québécois et canadien, 3e édition, Wilson & Lafleur Ltée, 2004.

Sunday, May 03, 2009

Vendre ses photos

Voilà où j'en suis avec ce projet.
Je vais en vendre si je peux. C'était hors de question à mon retour de voyage. Pourtant maintenant que je m'y intéresse, mes photos ne sont pas du bon format, trop petites. J'avais peur de perdre les droits sur des photos que je jugeais, bien personnellement superbes. Le temps a passé et rien ne s'est encore produit avec ces photos alors je vais tenter d'en vendre histoire de voir si j'en suis capable.

La démarche se fait assez simplement, je vais lister ici bas les sites qui font de la vente (les "middle man") de celui avec le jugement le plus facile au plus difficile à intégrer ;-)

Pour faire mes premières armes:
Fotolia
YayMicro

Des sites plus complexes:
Dreamstime
BigStockphoto
Stockxpert

Et le top, les clubs VIP:
iStockphoto
Shutterstock

Un article du photographe Mikhail Lavrenov qui explique bien comment s'y prendre.

Et finalement l'article de la presse, la source de tout ceci en autant que le lien survit.

Je ferai un amendement à ce site lorsque je réussirai ;-)

Monday, April 20, 2009

Les apprentis sorciers

"La science a fait de nous des dieux avant même que nous ne méritions d'être des hommes."


les apprentis sorciers

Des nettoyants font proliférer les bactéries résistantes

Voilà enfin une étude qui démontre que les produits chimiques trop puissants ne nuisent pas seulement qu'à l'environnement.
Malheureusement, je dois dire que cet article me fait beaucoup penser à ma mère qui développe une manie de la propreté qui va d'un soupçon d'eau de javel pour nettoyer les ustensiles à du produit de nettoyage hyper-puissant utilisé pour laver le bain après chaque utilisation (au risque d'attraper des maladies de peau !).

Et si on retournait au vinaigre et au bicarbonate de soude!?


Des nettoyants font proliferer les bacteries resistantes

Tuesday, April 07, 2009

No VietCong Ever Called Me Nigger


Mettons la science de côté 2 minutes.

J'ai trouvé ceci ce matin, un éclair rapide et lumineux au milieu d'un article soporifique sur Tiger Woods.

1966, Muhammad Ali.

Pour le reste voir le lien suivant : :-)

Sunday, April 05, 2009

Arecibo - Fermi - Drake



Un matin trop court où j'ai glissé d'une histoire à l'autre. "où j'ai butiné" serait plus précis.

Ne me demandez pas comment je suis tombé là dessus.

Paradoxe de FERMI
Sachant que la Voie lactée fait environ 50 000 année-lumière de rayon, une vitesse globale du front de colonisation de 1% de la vitesse de la lumière suffit à la coloniser entièrement en quelques millions d'années, ce qui est très peu par rapport à l'âge de la galaxie et au temps qu'il a fallu à la vie terrestre pour évoluer jusqu'à la civilisation humaine actuelle. Si les extraterrestres existent [...], la logique serait donc que ce phénomène s'est déjà produit, et même éventuellement plusieurs fois. Le paradoxe, c'est que nous n'en observons aucune trace.



Et le premier "clic" est allé à...
L'Équation de DRAKE

suggérée par Frank Drake en 1961 afin de tenter d'estimer le nombre potentiel de civilisations extraterrestres dans notre galaxie avec qui nous pourrions entrer en contact


Puis je suis revenu à Fermi, tentant de lire rapidement les neuf réponses possibles au paradoxe. Quand finalement j'ai trouvé cette curiosité: "Le Guide du voyageur galactique/The Hitchhiker's Guide to the Galaxy".

[...] où la planète Kriquète est dans un système entouré par un nuage de gaz opaques. Les habitants n'imaginent alors pas un instant qu'il puisse y avoir d'autres formes de vie ailleurs que chez eux, ce jusqu'à ce qu'un vaisseau spatial ne s'écrase sur Kriquète.


Finalement j'ai terminé en laissant glisser ma curiosité sur l'hypothèse extra-terrestre

Les partisans de l'HET tendent à considérer certains cas d'ovnis résistant à toute explication prosaïque ou sociopsychologique (entre 15 et 30% des cas selon les enquêtes, 28% des Phénomènes Aérospatiaux Non-Identifiés selon le GEIPAN) comme pouvant être la manifestation d'une civilisation extraterrestre qui aurait atteint un niveau technologique très supérieur au notre venue examiner la Terre et ses habitants.


Voilà pour la quête extra-terrestre ;-)

Saturday, April 04, 2009

Pleutre

Martineau, Richard de son prénom, à parfois le talent pour choisir le mot d'impact requis.

Pleutre

Comme dans :
"S'étant découvert un «souci» juridique après la première diffusion, Zone 3, producteur de l'émission, avait en effet décidé de ne pas la rediffuser. Cela avait franchement déplu à l'animateur Richard Martineau, qui avait qualifié le producteur de «pleutre»."


se dit d'un homme vil et lâche.

Pour le reste de l'article, tant que le lien survivra sur Cyberpresse

"Il intrigue"

Un mot qui en cache tant.

intrigue

Pratique secrète qu’on emploie pour faire réussir ou pour faire manquer une affaire.

Tuesday, March 17, 2009

Laver à l'eau froide ou manger moins de viande?

Un article hyper intéressant sur Cyberpresse.

... et encore une fois je ne fais plus confiance à la permance des liens de Cyberpresse alors voici une version copiée:

"Publié le 11 mars 2009 à 07h11 | Mis à jour le 11 mars 2009 à 07h15
Laver à l'eau froide ou manger moins de viande?
La Presse Canadienne - Québec

Lequel de ces gestes a le plus d'impact quant à la protection de l'environnement: laver à l'eau froide? manger moins de viande? chauffer moins la nuit ou recycler? La réponse se trouve à la fin du texte.

Il s'agit de l'un des 24 gestes préconisés par Défi climat, une campagne annuelle de sensibilisation à la lutte aux changements climatiques, dont la deuxième édition se tient du 10 mars au 24 avril. Dès que l'on parle de réduire les émissions personnelles de gaz à effet de serre (GES), on prêche souvent à un converti.

«Il faut faire beaucoup de sensibilisation auprès du grand public, de façon différente, a affirmé la directrice générale du Fonds d'action québécois pour le développement durable, Véronique Jampierre, au cours d'une conférence de presse, mardi, à Québec. Les gens veulent agir, mais ne savent pas comment, ou quand ils le font, ils ne persévèrent pas.»

D'où l'idée de s'adresser aux entreprises et institutions pour solliciter la participation de la population.

On fait d'une pierre, deux coups: en relayant le message, les entreprises sont obligées de réfléchir sur leurs propres pratiques environnementales. Pour s'inscrire, elles doivent d'ailleurs compter sur un comité en environnement ou s'engager à en créer un.

L'an passé, les 130 entreprises impliquées ont permis à 25 000 individus de s'engager pour une réduction de 26 000 tonnes de GES, l'équivalent au retrait de 6347 voitures en circulation.

«On pense que c'est une formule gagnante, a dit le coordonnateur général adjoint d'Equiterre, Steven Guilbeault. À très court terme, on veut étendre la campagne à toute la province et, pourquoi pas, ensuite, à l'ensemble du pays. C'est aussi une façon de dire que nous sommes tous dans le même bateau: industries, gouvernements et individus ont la responsabilité d'agir.»

Les gestes et les réductions de GES peuvent sembler minimes, mais il faut bien commencer quelque part, a affirmé le conseiller municipal de Québec, Raymond Dion, mardi, à la conférence de presse.

Notamment «en arrêtant de vivre dans une société complètement axée sur l'auto», comme le faisait valoir le directeur général du Conseil général de l'environnement de Québec, Alexandre Turgeon.

Au-delà du fait que tout le monde doit faire sa part pour réduire la pollution, Défi climat permet une réflexion dans toutes les sphères publiques sur l'obligation pour le Québec d'opter pour un développement durable, «qui est un projet de société», a jugé Véronique Jampierre.

Alors, quels gestes comptez-vous poser?

Le plus vert, à domicile, constitue un véritable défi. Eliminer quatre repas de viande par semaine permet de diminuer de 416 kg les émissions de gaz carbonique par an, comparativement à diminuer le chauffage de trois degrés Celsius la nuit, (190 kg/an), recycler (30 kg/an) et laver à l'eau froide (12 kg/an)."

Ben maudit !

Alors je me suis dit d'où ils viennent ces chiffres !
Je me suis rendu sur le site de Défi Climat et j'ai retrouvé l'information à la page "Les gestes à poser".

Intéressant. Mais la viande c'est bon. Je creuse encore pour trouver la source. Cette donnée provient de Nature Québec. En fait le lien donne sur une publication de Nature Québec. Le site de l'organisme se trouve ici. C'est bon pour les données sur les émissions de méthane. J'abdique... en attendant qu'ils trouvent des façons de modifier la flore intestinale des bovins afin que moins de méthane ne soit produit.

Et voici, finalement, les actions en ordre décroissant d'impact sur le CO2 émis:


Description (en ordre décroissant d'impact) Économie (Kg de CO2/an)
22. J’achète des crédits de carbone pour compenser mes émissions de gaz à effet de serre (GES) reliées à un voyage en avion: (aux Caraïbes) 1316
19. J’adopte la formule de l’autopartage plutôt que de posséder un véhicule : 1200
20. Si je dois remplacer mon véhicule, j’opte pour  un véhicule à faible consommation d’essence (6,5 l/100km) :  1008
15. J’adopte de bonnes habitudes de conduite automobile : respect des limites de vitesse, pression adéquate des pneus et non-utilisation du climatiseur en ville :  990
21. J’effectue une mise au point régulière de mon véhicule :  620
17. Je prends les transports collectifs pour me rendre au travail, à l’université ou au cégep, plutôt que de prendre ma voiture : (Montréal, 5 jours/semaine) 555
12. J’élimine 4 repas de viande par semaine:  416
8. Je privilégie l’achat d’aliments produits au Québec :  340
10. À la maison, j’abaisse la température de 3°C la nuit ou de 1°C pendant toute la journée:  190
18. Je marche ou je prends la bicyclette pour me rendre au travail, à l’université ou au cégep, plutôt que de prendre ma voiture : (Montréal, 1 jour/semaine) 190
14. En automobile, je ne fais pas tourner le moteur inutilement, soit plus de 10 secondes au départ et à l’attente:  130
24. Au centre-ville, je remplace un déplacement en taxi par la marche ou le transport en commun, une fois par semaine :  120
3-Je composte les matières organiques à la maison  100
16. Je fais du covoiturage pour me rendre au travail, à l’université ou au cégep, plutôt que de me déplacer en auto solo : (Montréal, 1 jour/semaine) 95
23. Quand je fais un déplacement entre Montréal et Québec, je le fais autrement qu’en auto solo :  66
6-Je n’utilise plus de tondeuse à essence, mais un modèle manuel ou électrique :  48
7-Je choisis des appareils homologués Energy Star lorsque je dois acheter ou remplacer l’un des équipements suivants : lave-vaisselle, réfrigérateur, laveuse, imprimante ou téléviseur : 38
4-Je dépose dans le bac de récupération toutes les matières recyclables acceptées:  30
9. Je réduis de 50 % la quantité de papier utilisé : impressions recto verso, courriels, documents et factures électroniques, etc. :  28
1-Je remplace deux lavages à l’eau chaude par deux lavages à l’eau froide chaque semaine :  12
5-Je me sers de sacs réutilisables : 12
2-Je renonce à mon climatiseur de fenêtre à la maison : 11
11. Je plante un arbre ou j’en parraine la plantation:  10
13. Je prends une courte douche plutôt qu’un bain :  9

Emphytéotique

Dans l'artice de Sara Champage sur la maison de la terre il est fait mention de
" [...] Hydro-Québec, qui a cédé un de ses terrains par emphytéose pour 50 ans [...] "

Le mot me disait quelque chose, j'en saisissais le sens mais pourquoi pas en connaître toute la portée ;-)

Comme j'ai peur que l'article ne soit effacé, encore, je le copie ici bas:

"Publié le 23 février 2009 à 07h14 | Mis à jour le 23 février 2009 à 07h22
Maison développement durable: Équiterre fait rager les écolos purs et durs
Sara Champagne - La Presse

Greenpeace se distancie du projet. La coalition Québec-Kyoto et l'Association de la lutte contre la pollution atmosphérique ont déjà ouvertement dénoncé l'idée. Malgré tout, Équiterre persiste et signe avec son projet de construction d'une Maison du développement durable, au centre-ville, en plein coeur du Quartier des spectacles.

L'organisme, déjà partenaire d'Hydro-Québec dans ce projet, vient de conclure un partenariat avec Bell Canada et s'apprête à lancer une campagne de financement auprès des entreprises privées, a appris La Presse. De quoi faire grincer des dents les écologistes purs et durs, qui clament qu'il faut absolument maintenir «une distance» entre les organismes et les compagnies pour assurer une «objectivité environnementale.»



Grâce à Hydro-Québec, qui a cédé un de ses terrains par emphytéose pour 50 ans, à l'angle des rues Sainte-Catherine et Clark, Équiterre a bon espoir de faire sortir de terre son siège social au mois de mai, pour une ouverture à l'automne 2010. Actuellement, des tests sont réalisés sur le site afin d'installer un audacieux système de géothermie qui alimentera tout le bâtiment.

Au début du mois de février, le projet a franchi une étape importante en obtenant l'appui des élus de l'arrondissement de Ville-Marie. Les citoyens du quartier qui sont en désaccord avec le projet ont jusqu'au 27 février pour demander un référendum. Après cette date, il sera trop tard. «Il ne restera qu'à approuver le projet», précise Jacques-Alain Lavallée, porte-parole de l'arrondissement, qui ajoute qu'on n'aura jamais fait aussi vert en matière de construction à Montréal.

La future Maison du développement durable enfreint toutefois les règles d'urbanisme avec ses six étages projetés, soit cinq mètres de plus que les limites permises dans le secteur. Même si des places de stationnement doivent obligatoirement être aménagées, selon le règlement, Équiterre a d'autre part décidé de suivre complètement les notions de développement durable en demandant une dérogation pour bannir les véhicules au profit de 40 places pour vélos réparties à l'extérieur et à l'intérieur de l'édifice.

Quant à Hydro-Québec, elle pousse l'audace plus loin en acceptant d'aménager une sorte de parc écologique entre la nouvelle construction et le Théâtre du Nouveau Monde, l'institution voisine. La garderie Le Petit Réseau, qui accueille les enfants des employés d'Hydro-Québec, emménagera dans la Maison du développement durable et accueillera les enfants des employés des organismes locataires.

«Nous sommes mal à l'aise, explique André Bélisle, de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique. On remarque depuis déjà un bon moment qu'Équiterre ne critique pas beaucoup Hydro-Québec. Et on se demande par ailleurs pourquoi l'organisme reçoit plus d'argent du gouvernement que tous les organismes environnementaux du Québec réunis.»

Afin de calmer le jeu, Équiterre a rencontré une vingtaine d'organismes pour expliquer le projet. «ll est habituel que les organismes reçoivent des sources de financement de toutes sortes, précise François Boulanger, coordonnateur énergie, transports et bâtiments d'Équiterre. On pense que notre approche est correcte.»

Grâce à ce projet, Équiterre ambitionne d'aller chercher une certification platine, la plus haute distinction Leed en matière de construction. Afin d'y parvenir, il est prévu d'aménager un toit vert et un bistro de 80 places qui servira bio, local et équitable. La Maison étudie aussi les façons de récupérer les matières organiques, soit en les compostant ou en les acheminant dans un centre de transformation. Enfin, le vitrage sera triple afin de réduire les pertes d'énergie.



La Maison en bref

La Maison verte abritera neuf organismes: Équiterre, le centre de la petite enfance Petit Réseau, le Centre québécois du droit de l'environnement, le Conseil régional de l'environnement (CRE) de Montréal, Environnement Jeunesse, la Fondation David Suzuki, Option Consommateurs, le Regroupement de services Éco-quartiers et le Regroupement national des conseils régionaux de l'environnement du Québec. Le cinquième étage est encore à louer à un partenaire éventuel.

Coût du projet: 30 millions, payés par le privé et une subvention de 7 millions du gouvernement du Québec.

Il s'agira d'un édifice de six étages, avec rez-de-chaussée vitré, ouvert au public: bistro bio de 80 places, centre de conférence de 100 places et atrium. Il comportera aussi un Centre d'interprétation sur le bâtiment vert et sur le développement durable."

Les produits bio

Une caricature très bonne à mon avis ;-)
C'est aussi un test de permanence de l'information.

Le lien URL (l'image suit car je doute de sa durée de vie)


L'image téléchargée

Thursday, March 12, 2009

Seat Guru

Trouvé pour les voyageurs tanné du mauvais siège.

Il y a même le Dash-8 et le Q400 de Porter ...

;-)

SeatGuru

Depeche Mode - Wrong

Une recommandation de DJ Céline,
Je vous la recommande à mon tour. Et le vidéo aussi ;-)

Thursday, March 05, 2009

Les îles Diomedes

Iles situées au coeur du détroit de Bérhing, une américaine, une soviétique ;-)

C'est Fred qui m'a amené cette découverte ce soir!

Diomedes

Dominic Dufour

Lui il m'a fait tripper en masse avec une de ses créations ;-)

Pour ceux qui prétendent me connaître, osez me suggérer un bijou de sa collection ;-)

Site Web

Staynomad

hey!

Un site super intéressant pour tous ceux qui espèrent faire financier leur excursion.

Pourquoi pas joindre l'exploration à la collaboration. Si chaque partenaire y trouve son compte. ;-)

Voici le site : Staynomad

Wednesday, March 04, 2009

Catharsis

Hey, on parle d'un film sur Dédé Fortin des Colocs: "Belle façon de clore un deuil de neuf ans. "Il y a eu une grande catharsis, [...]""

Purification des passions (selon Aristote) chez le spectateur d’une représentation dramatique.

Wow !

Acrostiche

Ben voilà, Acrostiche avec UN "c".

Nouveau mot ou mot ressuscité du profond de mon subconscient.

Finalement un poème avec un texte caché dans la première lettre de chaque vers.

Bon !

Bon,
Yé temps que je m'y remette.
J'avais le goût de nourrir un autre site web de mes découvertes de nouveaux mots, de bonne adresses (resto ou sites d'escapade gourmande) ou finalement de site web décoiffant. Bref, au lieu de nourrir un autre site, je vais tout mettre ici.

De toute façon qui lit ce que j'y dépose ;-)

Bref, c'est pas mal beaucoup pour moi que j'écris ici ;-)

Pour les autres, j'espère que vous trouvez cela intéressant à tout le moins.

Friday, February 13, 2009

Sierpinski

Dans mon pélerinage quotidien sur xkcd...
Il a encore réussi à générer une interrogation: "C'est qui Sierpinski?"

Alors voilà le lien

et l'image du matin qui a démarré tout cela ;-)



Devrais-je ajouter... Bonne St-Valentin !!!

Wednesday, February 11, 2009

Artiste de la rue

Et si l'on écrivait l'histoire de ces artistes de l'ombre du coin d'un oeil.

Ceux là qui pour quelques "groszy" vous livrent une parcelle de leur vie.


Musiciens de boîte à flûtes, gratteurs de guitare à contes ou raconteurs d'accordéon à chansons.

Toujours l'air triste, un peu, toujours la main ouverte, tendue.

Pourtant l'air absent, faux joyeux; ils mènent une vie de contrastes.


Natasha est piccoliste de grandes places animées. Ses airs léger emballent la foule et volent aux passants des sifflements de complicité. Son âme pourtant vogue sur les airs tristes du Dr. Jivago en lambeaux déchirés, errant dans la steppe desertée, congelée. Natasha s'exécute où son coeur l'appelle, près des tables en terrasse du bistrot ou des portes du caveau. Sa plus grande frousse, devoir entrer, bosser et y être prisonnière toute la journée.


Victor est directeur de boîte à musique. Il supervise le souffle des sifflets de bois, les pas de pantins de chaque coin ainsi que le ton de la musique accordée au roulement de la manivelle et aux profondeurs des pistons. Il s'installe toujours près de chez Dom Restauracyjny, Gessler, le resto avec de l'herbe pour plancher. Car il y trouve son ombre, et ses passants qu'il connaît tous par leurs paroles silencieuses et leurs regards curieux-timides. Sa plus grande crainte serait de quitter sa vie rythmée au battement de son bras tournant. Il souffre du regard quotidien de centaines de passants qui viennent et qui vont en souriant, hypocrites, poliement.



Anais, est charmeuse de corde à guitare. Envouteuse indienne, pareille, celles qu'elle gratte lui obéissent et chantent pour les auditeurs-passants des mélodies d'autre temps. Elle déploie son théâtre sur les pavés, adossée au rebord du trottoir, exposée. Ses genous sur le plastique, sur la pierre, sont usés, blessés. Son coeur congelé, tiraillé entre le désir de se lever et bouger et celui d'entendre tinter un "zloty" lancé, la fixe dans l'espoir. Ce qu'elle croit craindre le plus: perdre sa "liberté" d'aller.


Stalislav est clown. Sur son bloc, immobile, il tient la pose. Silencieux, les yeux vitreux, les muscles douloureux, il prendrait bien un repas, du repos, du soleil, juste un peu. Sans avoir à amuser petits derniers et grands bébés qui le font s'exécuter sans le payer. Il a mal à demain, pareil à l'aujourd'hui de sa peine; au présent de chaque minute où il doit cacher sous un sourire trop grand, trop rouge, trop accroché, sa détresse. Ainsi que toutes celles marquées dans les rides profondes qui s'expriment de chaque côté de ses yeux et qui servent de goutière la soirée arrivée. Il vit pour le souffle, le rire spontané, d'un enfant de passage. Il vit, moi je le dis, mais le clown se meurt.


Marie-Julie est dompteuse d'inconnu, exploratrice de civilisation, entraîneuse de voyageurs, éleveuse d'un quotidien différent de demain. Elle s'exécute partout du soir au matin. Peu importe la langue ou les coutumes du public elle s'y trouve, s'y ajuste et obtient ce pourquoi elle tend la main. Son théâtre elle le déroule où le vent veut bien la porter, où la nécessité se pointe le nez. Elle a la tête trouble de nouvelles idées, de projets, de choses à raconter, de questions à poser.

Mais devant elle, il n'y a que le passant inconnu pour l'écouter.

Ce qui la fait le plus reculer c'est de penser que jamais elle ne pourra quitter ce monde qu'elle n'a pas adopté.


SB - Pologne, 26 avril 2003

Un inconnu... au détour du chemin

J'ai reçu ceci par personne interposée. Je suis allé fouiner sur YouTube histoire de voir... et j'ai vu.

Intéressant.

Un musicien de rue était debout dans l'entrée de la station L'Enfant Plaza du métro de Washington DC.
Il a commencé à jouer du violon.
C'était un matin froid, en janvier dernier.
Il a joué durant quarante-cinq minutes.
Pour commencer, la chaconne de la 2e partita de Bach, puis l'Ave Maria de Schubert, du Manuel Ponce, du Massenet et de nouveau Bach.
A cette heure de pointe, vers 8h du matin, quelque mille personnes ont traversé ce couloir, pour la plupart en route vers leur boulot.

Après trois minutes, un homme d'âge mûr a remarqué qu'un musicien jouait.
Il a ralenti son pas, s'est arrêté quelques secondes puis a démarré en accélérant.
Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : en continuant droit devant, une femme lui a jeté l'argent dans son petit pot.
Quelques minutes plus tard, un quidam s'est appuyé sur le mur d'en face pour l'écouter mais il a regardé sa montre et a recommencé à marcher..
Il était clairement en retard.

Celui qui a marqué le plus d'attention fut un petit garçon qui devait avoir trois ans.
Sa mère l'a tiré, pressée mais l'enfant s'est arrêté pour regarder le violoniste.
Finalement sa mère l'a secoué et agrippé brutalement afin que l'enfant reprenne le pas.
Toutefois, en marchant, il a gardé sa tête tournée vers le musicien.
Cette scène s'est répétée plusieurs fois avec d'autres enfants.
Et les parents, sans exception, les ont forcés à bouger.

Durant les trois quarts d'heure de jeu du musicien, seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l'écouter un temps.
Une vingtaine environ lui a donné de l'argent tout en en continuant leur marche.
Il a récolté 32 dollars.
Quand il a eu fini de jouer, personne ne l'a remarqué.
Personne n'a applaudi.
Une seule personne l'a reconnu, sur plus de mille personnes.

Personne ne se doutait que ce violoniste était Joshua Bell, un des meilleurs musiciens sur terre.
Il a joué dans ce hall les partitions les plus difficiles jamais écrites, avec un Stradivarius de 1713 valant 3,5 millions de dollars !
Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston était « sold out » avec des prix avoisinant les 100 dollars la place..

C'est une histoire vraie.
Joshua Bell jouant incognito dans une station de métro a été organisé par le « Washington Post » dans le cadre d'une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d'action des gens.

Les questions étaient :
-Dans un environnement commun, à une heure inappropriée, pouvons-nous percevoir la beauté ?
-Nous arrêtons-nous pour l'apprécier ?
-Pouvons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu?

Une des possibles conclusions de cette expérience pourrait être :
si nous n'avons pas le temps pour nous arrêter et écouter l'un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées, à côté de combien d'autres choses exceptionnelles passons-nous ?

Monday, February 09, 2009

2nd base ?... Homerun !

J'adore ces façons graphiques d'expliquer les choses en utilisant un modèle qui permet d'explorer quelques limites.



Never settle for less.

Tuesday, February 03, 2009

Le saviez-vous ?

Je fouinais sur Franklin Delano Roosevelt lorsque j'ai appris qu'il était le seul président américain (32e) à avoir fait 4 mandats consécutifs. Wow.

Puis en regardant rapidement la bio des 2 autres qui ont essayé sans succès (Ulysses S. Grant (18e) & Theodore Roosevelt (26e)), j'ai découvert 2 autres anecdotes intéressantes:

L'origine probable du mot "Lobbyist" :

Grant est connu pour avoir fréquenté les salons de l'hôtel Willard, à Washington, pour évacuer les pressions dues à sa fonction. Beaucoup de gens tentaient de l'approcher alors qu'il franchissait l'entrée (lobby en anglais). Grant les appelait « ces sacrés lobbyist » ; c'est peut être l'origine du terme utilisé actuellement pour désigner les personnes qui abordent les législateurs pour tenter d'influencer leur vote.


L'origine probable "la plus courante" du terme "Teddy Bear":

L'origine de « Teddy Bear », qui désigne un ours en peluche, fait l'objet de plusieurs anecdotes invérifiables. La plus courante est la suivante : en 1903, Roosevelt rentra bredouille d'une chasse à l'ours de quatre jours. Croyant faire plaisir, les organisateurs enchaînèrent un ourson noir au pied d'un arbre afin de satisfaire les cartouches du président : outré par cette mise à mort, Théodore Roosevelt fait libérer l'animal. Deux émigrants russes, Rose et Morris Mictchom, immortalisent cette histoire en créant un ours en peluche qu'ils baptisèrent Teddy. Le succès fut immédiat puisque, peu de temps après, ils créent leur propre atelier The Ideal Novelty in Toy Co.



Pour le reste, les faits historiques sérieux, je compte sur votre curiosité et votre intelligence pour lire les articles. Et si je n'ai fait que vous donner le goût de les lire, j'aurai gagné mon pari.

Thursday, January 29, 2009

Non-rocket spacelaunch (NRS)

Un vrai trip de ch't'ing.

Go to space

Sunday, January 25, 2009

Trendwatching

Céline, la brave qui a osé faire le premier commentaire sur ce blog sans prétention... m'a suggéré ceci. Intéressant en effet

Trendwatching_Current Briefing

Trendwatching

C'est bourré d'idée ! J'ai bien aimé le "Carbon negative", "Co-Donate" et RAK (Random act of Kindness).

Saturday, January 24, 2009

Obama few key speaches

L'allocution d'Obama à l'investiture de Kerry - Juillet 2004





"Yes We Can" - 8 janvier 2008, primaires du New Hampshire





Discours de la victoire - 5 novembre 2008, Chicago





Le voyage en train à la Lincoln





Discours d'investiture - 20 janvier 2009, Washington

1 de 2


2 de 2




Obama m'a séduit par ses discours et maintenant par ses actions (après moins d'une semaine de présidence par les décrets qu'il a signé)... Ok, je capote un peu :-D

J'ai trouvé plein de truc sur Youtube produit par C-Span

Friday, January 23, 2009

Pleiades

Je me demandais encore... quel était le nom de ce paquet d'étoile que j'avais affectueusement nommé "la p'tite p'tite grande ourse"...

Trouvée dans l'axe de la ceinture d'Orion, un peu plus élevé, par delà la constellation du taureau... Les Pléiades !!!!

Je suis encore content ;-)


J'ai fait une superposition qui ne tient pas compte de l'échelle, entre les Pléïades et la Grande Ourse:



Avouez que c'est très similaire.

Éolien: +de 2000MW pour le Canada

Une excellente nouvelle et un communiqué de presse qui présente bien l'écart qui nous sépare des premiers ;-)

L'association canadienne de l'énergie éolienne

Photosynth

Un concept de Microsoft utilisé par CNN pour l'investiture d'Obama.

Le Photosynth Débile ;-)

Code de Bacon

Je lisais sur ce personnage hier, Francis Bacon, philosophe anglais 22 janvier 1561-1626.
Intéressant ce qu'il a développé pour coder les messages diplomatiques.

C'est du binaire 4 bit, mais pensé et utilisé en 1600 !

ABAAAAAAAAABAAAABABAAAAAABAABAAABAAABBAABAABAAAAAABAABAABAAAABBABABBAAAAABBBAABABAAAAAABAAABABBABBABABAAAABBAABAAABAAAABABABAAAAAAABBAAAAABAABBBBBAABBAABAAABBAAAABAAABAAAAABBAAABAA

Tuesday, January 20, 2009

Obama

Comment faire un commentaire sans tomber dans l'insignifiant?
Comment passer sous silence cet événement historique?

Count me in, Barack.
I believe
In the power of words
leading actions
toward change.


À quand le même leadership, le même charisme politique au Canada ?

à lire sur les réseaux de nouvelles occidentaux, arabe, iranien et nord-coréens. J'ai copié les articles à la suite afin de réfléter ce qui a été affiché


Al-Jazeera
Obama sworn in as US president

Barack Obama has become the 44th president of the United States, during an inauguration ceremony witnessed by at least one million people in Washington DC.

Obama was sworn in as the US commander-in-chief just after noon local time (1700 GMT) on Tuesday, becoming the first African-American to hold the post.

"I stand here today humbled by the task before us, grateful for the trust you have bestowed, mindful of the sacrifices borne by our ancestors," Obama said, minutes after taking the oath of presidential office from John Roberts, the US chief justice.

"Forty-four Americans have now taken the presidential oath. The words have been spoken during rising tides of prosperity and the still waters of peace.

"Yet, every so often the oath is taken amidst gathering clouds and raging storms. At these moments, America has carried on not simply because of the skill or vision of those in high office, but because We the People have remained faithful to the ideals of our forbearers, and true to our founding documents."

Kennedy collapses

Hours after his inauguration, Obama addressed members of the US congress at a special lunch event, which was overshadowed by the collapse of a senator.

The American news channel CNN and other networks identified the victim as Edward Kennedy, the Massachusetts senator who is battling a life-threatening brain tumour.

Television networks reported that Kennedy required medical attention after Robert Byrd, 91, a West Virginia Democratic senator, also took ill.

"It looked like a seizure and it was painful to him [Kennedy]," Orin Hatch, a Utah Republican senator, said.

"But ... as he got into the ambulance he kind of looked over at me and smiled that old Irish smile that I know [meant] that things are going to be all right."

After the lunch, at which Obama paid tribute to Kennedy, the new president walked with his wife along Washington's Pennsylvania Avenue as part of an inauguration parade.

US challenges

Nicolas Sarkozy, France's president, said after Obama's inauguration: "We are eager for him to get to work so that with him we can change the world".

Meanwhile, Gordon Brown, Britain's prime minister, said Obama's ascendancy to the US presidency marked a "new chapter in both American history and the world's history."

Obama acknowledged that the US faces several challenges, from military campaigns in Iraq and Afghanistan to economic concerns at home.

"That we are in the midst of crisis is now well understood. Our nation is at war, against a far-reaching network of violence and hatred. Our economy is badly weakened, a consequence of greed and irresponsibility on the part of some, but also our collective failure to make hard choices and prepare the nation for a new age," he said.

"Today I say to you that the challenges we face are real. They are serious and they are many. They will not be met easily or in a short span of time. But know this, America - they will be met.

"On this day, we gather because we have chosen hope over fear, unity of purpose over conflict and discord."

Rob Reynolds, Al Jazeera's correspondent in Washington, said: "Some of the things I thought were stand-out moments included his [Obama's] call for an era of responsibility, which was a theme in the speech.

"He also said, very specifically, in something of a rebuke to the outgoing president, George Bush, that America is ready to lead again.

"Clearly the implication is that America failed to show leadership in the last few years."

'Different track'

Obama's speech was aimed at convincing Americans that he will take a different course from Bush, said Marwan Bishara, Al Jazeera's senior political analyst.

"This speech was not about what he is - a political operator - but who he is. He said it is not about big or small government, but about government that works,"

"Obama didn't say anything about a War on Terror, which we've been hearing about for the last eight years, but he did say we are at war against a network which is far different to what we have heard before."

But Robert Fisk, a Beirut-based journalist for the London-based Independent newspaper, said Obama's speech did not highlight any wholesale shift in US strategy.

"I do not think there was a great difference from the rhetoric of Bush but we didn't get taken through 9/11 again," he said.

Fisk also described the speech as "very long, almost a sermon" and as being "meagre on the Middle East" because it did not reference the Palestinian issue.

"Many people in this region [the Middle East] are going to say 'didn't he see the pictures on TV in the last few days'... it's the Middle East that will come back again and again and I don't think he chose to address it," he said.

Obama and his wife Michelle began inauguration day by attending a service at St John's Episcopal church, which lies a short distance from the White House.

Obama then went to the White House to share coffee with George Bush, the outgoing US president, and Dick Cheney, the outgoing vice-president.

Bush and Cheney later left the White House for the last time, with Bush joining Obama in a motorcade heading to the Capitol for the inauguration ceremony.

After Obama's inauguration, Bush and his wife Laura boarded a helicopter waiting next to the US Capitol, to begin their journey to Midland, Texas.

'Destinies shared'

Central Washington DC was inundated by hundreds of thousands of people keen to witness Obama's inauguration.

"This crowd was hanging on every word Obama was saying. At some moments, he was solemn and the crowd listened carefully. Then he talked about the US becoming strong again, and there was a lot of flag waving," Cath Turner, Al Jazeera's correspondent in Washington DC, said.

Grace Clark, a spectator who had travelled from California, said she had been inspired by Obama's speech.

"It was a new beginning for me, which I was able to share with my daughter here. It gave me the sense that we allhave responsibilities of trying to make changes in the future," she told Al Jazeera.

Torrey Pocock, a self-confessed Republican voter, said he was in Washington to witness a festival of democracy.

"For the country, given its past history [of racism], to put its trust in an African-American president is an incredible thing," he said.

"This is an opportunity to see a bloodless revolution, a opportunity to completely change regimes."

Obama's inauguration came a day after he called on Americans to unite in the spirit of Martin Luther King Jr, the murdered civil rights leader.

"Tomorrow, we will come together as one people on the same mall where Dr King's dream echoes still. As we do, we recognise that here in America, our destinies are inextricably linked," he said in a statement on Monday.

"We resolve that as we walk, we must walk together. And as we go forward in the work of renewing the promise of this nation, let's remember King's lesson - that our separate dreams are really one."



Iran-Daily


21 janvier 2009 (fuseaux horaires)
Obama Takes Office

Barak Obama will not be the nationÕs youngest chief executive -- Presidents John Fitzgerald Kennedy and William Jefferson Clinton were younger at their inaugurations.
Barack Hussein Obama, born of a mother from Kansas and father from Kenya who had their only son in Hawaii, took the oath of office as 44th president of the United States on Tuesday.
At 47, Obama will not be the nation’s youngest chief executive -- Presidents John Fitzgerald Kennedy and William Jefferson Clinton were younger at their inaugurations. But in profile, Obama is unique in American history: Becoming the first African-American president of a nation once riven by slavery and racially segregated by law for decades afterward, and taking the presidential oath on Abraham Lincoln’s Bible.
Braving icy temperatures and possible snow flurries, hundreds of thousands of people descended on the heavily guarded capital city Tuesday for the first change of administrations since the terror attacks of Sept. 11, 2001, Washington Post reported.
The capital city, a quick starter on even the most ordinary of days, took on the kind of frenetic predawn life rarely seen.
The streets were becoming populated well before daybreak, and competition for space on the Metro subway system was fierce.
Several suburban parking lots for subway riders were filled to capacity well before 6 a.m.
Two years after beginning his improbable quest as a little-known, first-term Illinois senator with a foreign-sounding name, Obama moves into the Oval Office as the nation’s fourth youngest president and the first African-American, a racial barrier-breaking achievement believed impossible by generations of minorities.
Around the world, Obama’s election electrified millions with the hope that America will be more embracing, more open to change.


Most Unpopular
The dawn of the new Democratic era _ with Obama allies in charge of both houses of Congress _ ends eight years of Republican control of the White House by George W. Bush. He leaves Washington as one of the nation’s most unpopular and divisive presidents, the architect of two unfinished wars and the man in charge at a time of economic calamity that swept away many Americans’ jobs, savings, homes and dreams _ leaving behind a sickening feeling of insecurity.
Bush _ following tradition _ left a note for Obama in the top drawer of his desk in the Oval Office.
White House press secretary Dana Perino said the theme of the message _ which Bush wrote on Monday _ is similar to what he has said since election night about how Obama is about to start a “fabulous new chapter“ in the United States, and that he wishes him well.
The unfinished business of the Bush administration thrusts an enormous burden onto Obama’s shoulders. Inauguration polls showed Americans believe Obama is on track to succeed and are confident he can turn the economy around. He has cautioned that improvements will take time and that things will get worse before they get better.


North_Korea_Times


President Barack Obama takes office
North Korea Times
Tuesday 20th January, 2009


Barack Obama has been sworn in as President of the United States.

People from around the country swarmed Washington on a cold January day to witness the historic swearing-in ceremony.

It was a ceremony steeped in tradition, the mood was electric and change was in the air.

'…I Barack Hussein Obama do solemnly swear.'

Standing before the U.S. Capitol Barack Obama became the first African-American President of the United States.

'... so help me God!'

In less than one minute, the peaceful transfer of power was complete, and a new chapter in U.S. history had begun.

'I stand here today humbled by the task before us, grateful for the trust you have bestowed, mindful of the sacrifices borne by our ancestors,' President Obama said.

He looked out at a massive, diverse American crowd, and urged unity.

'On this day, we gather because we have chosen hope over fear, unity of purpose over conflict and discord,' Mr. Obama said.

Th new president inherits a nation at war and in the midst of an economic crisis. He said the challenges facing the nation will not be met quickly or easily. But he vowed they will be met.

'What is required of us now is a new era of responsibility - recognition, on the part of every American, that we have duties to ourselves, our nation and our world, duties that we do not grudgingly accept but rather seize gladly,' Mr. Obama said.

He said that is the price and the promise of citizenship.

'This is the meaning our liberty and our creed - why men and women and children of every race and every faith can join in celebration across this magnificent Mall, and why a man whose father less than sixty years ago might not have been served at a local restaurant can now stand before you to take a most sacred oath,' Mr. Obama said.

Obama also had a message for the world. He spoke of America's desire for peace, and its determination to seek the common good.

'To those leaders around the globe who seek to sow conflict, or blame their society's ills on the West - know that your people will judge you on what you can build, not what you destroy,' Mr. Obama said. 'To those who cling to power through corruption and deceit and silencing of dissent, know that you are on the wrong side of history; but that we will extend a hand if you are willing to unclench your fist.'

And when the official ceremony was over, George W. Bush left the stage. He shook the hand of his successor, walked to a waiting helicopter, and waved farewell to Washington and the 44th President of the United States.

Following is the full text of the inaugural speech of President Barack Obama:

"My fellow citizens:

I stand here today humbled by the task before us, grateful for the trust you have bestowed, mindful of the sacrifices borne by our ancestors. I thank President Bush for his service to our nation, as well as the generosity and cooperation he has shown throughout this transition.

Forty-four Americans have now taken the presidential oath. The words have been spoken during rising tides of prosperity and the still waters of peace. Yet, every so often the oath is taken amidst gathering clouds and raging storms. At these moments, America has carried on not simply because of the skill or vision of those in high office, but because We the People have remained faithful to the ideals of our forbearers, and true to our founding documents.

So it has been. So it must be with this generation of Americans.

That we are in the midst of crisis is now well understood. Our nation is at war, against a far-reaching network of violence and hatred. Our economy is badly weakened, a consequence of greed and irresponsibility on the part of some, but also our collective failure to make hard choices and prepare the nation for a new age. Homes have been lost; jobs shed; businesses shuttered. Our health care is too costly; our schools fail too many; and each day brings further evidence that the ways we use energy strengthen our adversaries and threaten our planet.

These are the indicators of crisis, subject to data and statistics. Less measurable but no less profound is a sapping of confidence across our land - a nagging fear that America's decline is inevitable, and that the next generation must lower its sights.

Today I say to you that the challenges we face are real. They are serious and they are many. They will not be met easily or in a short span of time. But know this, America - they will be met.

On this day, we gather because we have chosen hope over fear, unity of purpose over conflict and discord.

On this day, we come to proclaim an end to the petty grievances and false promises, the recriminations and worn out dogmas, that for far too long have strangled our politics.

We remain a young nation, but in the words of Scripture, the time has come to set aside childish things. The time has come to reaffirm our enduring spirit; to choose our better history; to carry forward that precious gift, that noble idea, passed on from generation to generation: the God-given promise that all are equal, all are free, and all deserve a chance to pursue their full measure of happiness.

In reaffirming the greatness of our nation, we understand that greatness is never a given. It must be earned. Our journey has never been one of short-cuts or settling for less. It has not been the path for the faint-hearted - for those who prefer leisure over work, or seek only the pleasures of riches and fame. Rather, it has been the risk-takers, the doers, the makers of things - some celebrated but more often men and women obscure in their labor, who have carried us up the long, rugged path towards prosperity and freedom.

For us, they packed up their few worldly possessions and traveled across oceans in search of a new life.

For us, they toiled in sweatshops and settled the West; endured the lash of the whip and plowed the hard earth.

For us, they fought and died, in places like Concord and Gettysburg; Normandy and Khe Sahn.

Time and again these men and women struggled and sacrificed and worked till their hands were raw so that we might live a better life. They saw America as bigger than the sum of our individual ambitions; greater than all the differences of birth or wealth or faction.

This is the journey we continue today. We remain the most prosperous, powerful nation on Earth. Our workers are no less productive than when this crisis began. Our minds are no less inventive, our goods and services no less needed than they were last week or last month or last year. Our capacity remains undiminished. But our time of standing pat, of protecting narrow interests and putting off unpleasant decisions - that time has surely passed. Starting today, we must pick ourselves up, dust ourselves off, and begin again the work of remaking America.

For everywhere we look, there is work to be done. The state of the economy calls for action, bold and swift, and we will act - not only to create new jobs, but to lay a new foundation for growth. We will build the roads and bridges, the electric grids and digital lines that feed our commerce and bind us together. We will restore science to its rightful place, and wield technology's wonders to raise health care's quality and lower its cost. We will harness the sun and the winds and the soil to fuel our cars and run our factories. And we will transform our schools and colleges and universities to meet the demands of a new age. All this we can do. And all this we will do.

Now, there are some who question the scale of our ambitions - who suggest that our system cannot tolerate too many big plans. Their memories are short. For they have forgotten what this country has already done; what free men and women can achieve when imagination is joined to common purpose, and necessity to courage.

What the cynics fail to understand is that the ground has shifted beneath them - that the stale political arguments that have consumed us for so long no longer apply. The question we ask today is not whether our government is too big or too small, but whether it works - whether it helps families find jobs at a decent wage, care they can afford, a retirement that is dignified. Where the answer is yes, we intend to move forward. Where the answer is no, programs will end. And those of us who manage the public's dollars will be held to account - to spend wisely, reform bad habits, and do our business in the light of day - because only then can we restore the vital trust between a people and their government.

Nor is the question before us whether the market is a force for good or ill. Its power to generate wealth and expand freedom is unmatched, but this crisis has reminded us that without a watchful eye, the market can spin out of control - and that a nation cannot prosper long when it favors only the prosperous. The success of our economy has always depended not just on the size of our Gross Domestic Product, but on the reach of our prosperity; on our ability to extend opportunity to every willing heart - not out of charity, but because it is the surest route to our common good.

As for our common defense, we reject as false the choice between our safety and our ideals. Our Founding Fathers, faced with perils we can scarcely imagine, drafted a charter to assure the rule of law and the rights of man, a charter expanded by the blood of generations. Those ideals still light the world, and we will not give them up for expedience's sake. And so to all other peoples and governments who are watching today, from the grandest capitals to the small village where my father was born: know that America is a friend of each nation and every man, woman, and child who seeks a future of peace and dignity, and that we are ready to lead once more.

Recall that earlier generations faced down fascism and communism not just with missiles and tanks, but with sturdy alliances and enduring convictions. They understood that our power alone cannot protect us, nor does it entitle us to do as we please. Instead, they knew that our power grows through its prudent use; our security emanates from the justness of our cause, the force of our example, the tempering qualities of humility and restraint.

We are the keepers of this legacy. Guided by these principles once more, we can meet those new threats that demand even greater effort - even greater cooperation and understanding between nations. We will begin to responsibly leave Iraq to its people, and forge a hard-earned peace in Afghanistan. With old friends and former foes, we will work tirelessly to lessen the nuclear threat, and roll back the specter of a warming planet. We will not apologize for our way of life, nor will we waver in its defense, and for those who seek to advance their aims by inducing terror and slaughtering innocents, we say to you now that our spirit is stronger and cannot be broken; you cannot outlast us, and we will defeat you.

For we know that our patchwork heritage is a strength, not a weakness. We are a nation of Christians and Muslims, Jews and Hindus - and non-believers. We are shaped by every language and culture, drawn from every end of this Earth; and because we have tasted the bitter swill of civil war and segregation, and emerged from that dark chapter stronger and more united, we cannot help but believe that the old hatreds shall someday pass; that the lines of tribe shall soon dissolve; that as the world grows smaller, our common humanity shall reveal itself; and that America must play its role in ushering in a new era of peace.

To the Muslim world, we seek a new way forward, based on mutual interest and mutual respect. To those leaders around the globe who seek to sow conflict, or blame their society's ills on the West - know that your people will judge you on what you can build, not what you destroy. To those who cling to power through corruption and deceit and the silencing of dissent, know that you are on the wrong side of history; but that we will extend a hand if you are willing to unclench your fist.

To the people of poor nations, we pledge to work alongside you to make your farms flourish and let clean waters flow; to nourish starved bodies and feed hungry minds. And to those nations like ours that enjoy relative plenty, we say we can no longer afford indifference to suffering outside our borders; nor can we consume the world's resources without regard to effect. For the world has changed, and we must change with it.

As we consider the road that unfolds before us, we remember with humble gratitude those brave Americans who, at this very hour, patrol far-off deserts and distant mountains. They have something to tell us today, just as the fallen heroes who lie in Arlington whisper through the ages. We honor them not only because they are guardians of our liberty, but because they embody the spirit of service; a willingness to find meaning in something greater than themselves. And yet, at this moment - a moment that will define a generation - it is precisely this spirit that must inhabit us all.

For as much as government can do and must do, it is ultimately the faith and determination of the American people upon which this nation relies. It is the kindness to take in a stranger when the levees break, the selflessness of workers who would rather cut their hours than see a friend lose their job which sees us through our darkest hours. It is the firefighter's courage to storm a stairway filled with smoke, but also a parent's willingness to nurture a child, that finally decides our fate.

Our challenges may be new. The instruments with which we meet them may be new. But those values upon which our success depends - hard work and honesty, courage and fair play, tolerance and curiosity, loyalty and patriotism - these things are old. These things are true. They have been the quiet force of progress throughout our history. What is demanded then is a return to these truths. What is required of us now is a new era of responsibility - a recognition, on the part of every American, that we have duties to ourselves, our nation, and the world, duties that we do not grudgingly accept but rather seize gladly, firm in the knowledge that there is nothing so satisfying to the spirit, so defining of our character, than giving our all to a difficult task.

This is the price and the promise of citizenship.

This is the source of our confidence - the knowledge that God calls on us to shape an uncertain destiny.

This is the meaning of our liberty and our creed - why men and women and children of every race and every faith can join in celebration across this magnificent mall, and why a man whose father less than sixty years ago might not have been served at a local restaurant can now stand before you to take a most sacred oath.

So let us mark this day with remembrance, of who we are and how far we have traveled. In the year of America's birth, in the coldest of months, a small band of patriots huddled by dying campfires on the shores of an icy river. The capital was abandoned. The enemy was advancing. The snow was stained with blood. At a moment when the outcome of our revolution was most in doubt, the father of our nation ordered these words be read to the people:

"Let it be told to the future world...that in the depth of winter, when nothing but hope and virtue could survive...that the city and the country, alarmed at one common danger, came forth to meet [it]."

America. In the face of our common dangers, in this winter of our hardship, let us remember these timeless words. With hope and virtue, let us brave once more the icy currents, and endure what storms may come. Let it be said by our children's children that when we were tested we refused to let this journey end, that we did not turn back nor did we falter; and with eyes fixed on the horizon and God's grace upon us, we carried forth that great gift of freedom and delivered it safely to future generations."


... il y en a trop, j'ai abusé. Mais je voulais garder ces articles pour la postérité et "anyway" je voulais avoir le discours, même s'il sera disponible partout pour l'éternité.

Ciao

Saturday, January 10, 2009

La mort de l'empire Américain

Jonathan B. m'a envoyé un texte sur la mort de l'empire américain, voici mes commentaires:


La mort de l'Empire américain (En), un texte d'octobre 2007.


Je le publie quand même ici plus pour clore la grande question que cela suscitait chez moi que pour le texte (même si je le trouve bon). Je me souciais de la rigueur journalistique, de l'influence que la lecture de ce texte d'opinion/information aurait pour moi. Lorsque je lis Dubuc ou Foglia dans La Presse je sais qu'ils ont été relus, que derrière eux une équipe complète s'active, des relecteurs, un rédacteur en chef et qu'une histoire de rigueur supporte ce journal. Et j'ai appris à les connaître... comme des vieux chums. Sur l'internet qu'en est-il ? N'importe qui peut écrire n'importe quoi. Sur Mondialisation.ca, comment c'est organisé ???


Quelques trucs trouvés sur l'auteur : Tanya Cariina Hsu est chercheure en politique et analyste spécialisée dans les relations entre l’Arabie Saoudite et les États-Unis. Elle a contribué au récent témoignage écrit sur le Royaume d’Arabie Saoudite pour le Congressional Senate Judiciary Committee au nom de FOCA (Friends of Charities Association) lors des audiences sur la colline du Capitole à Washington, D.C. Son analyse a été publiée et acclamée par la critique à travers les États-Unis, l’Europe et le Moyen-Orient.

Elle a été la première à briser le silence à propos de l’influence israélienne sur le processus décisionnel de la politique étrangère américaine, lors du symposium « A Clean Break », qui se tenait à Washington, D.C., à la colline du Capitole en 2004. À l’époque directrice du développement et analyste à la recherche senior de l’Institut de recherche sur la politique au Moyen-Orient (IRmep), Mme Hsu demeure un membre international de l’Institut.

Née à Londres, elle est déménagée en 2005 à Riyad, en Arabie Saoudite, et écrit en ce moment un livre sur la politique américaine en Arabie Saoudite. Je n'en sais pas plus.


Je me suis posé quelques questions lors de la lecture de l'article, voici quelques pistes de réponses afin de vous sauver du temps. C'est toujours dans l'esprit de ma mise en contexte:

- Ses sources ? Mais est-ce que Dubuc et Foglia publient les leurs ? Cependant, étant donné la crédibilité à gagner à mes yeux, j'aurais aimé en avoir.

- Le rôle "mesquin" de "J.P. Morgan" n'est pas mentionné aussi clairement dans les sources que j'ai pu consulter. En la lisant, nous avons l'impression que c'est un Madoff du début du siècle. D'où tient-elle cela ?

Wiki : "J.P. Morgan"
Wiki : "Panique de 1907"
Wiki : Réserve Fédérale ici, dans le 1er paragraphe de "The Federal Reserve Act" on y parle de réserves face à l'influence de J.P.Morgan.

- Fannie Mae, Freddy Mac, deux sociétés américaines du type "SCHL". Je ne connaissais pas l'ampleur de leur rôle.

Wiki : Fannie Mae
Et son "compétiteur" pour assurer plus de stabilité
Wiki : Freddy Mac

- C'est là que j'ai regardé le plafond et que je me suis dis "wo! là !" c'est de la propagande sa patente !!!! Alors je fouine sur Wiki pour avoir une meilleure idée sur le système banquaire Islamique En fait c'est un système banquaire régit par la Charia. Un bref extrait:"Islamic banking is restricted to Islamically acceptable deals, which exclude those involving alcohol, pork, gambling, etc. Thus ethical investing is the only acceptable form of investment, and moral purchasing is encouraged. In theory, Islamic banking is an example of full-reserve banking, with banks achieving a 100% reserve ratio.[11] However, in practice, this is not the case, and no examples of 100 per cent reserve banking are observed.[12]
Islamic banks have grown recently in the Muslim world but are a very small share of the global banking system
"

Les grandes lignes sont bonnes, elle condamne les excès de l'endettement et de la croissance infinie des marchés. Mais je trouve que pour le faire, elle affirme des choses qui font sortir de route le lecteur. Nous en arrivons à nous demander, avec raison, où est-elle allé piger tout ça ? Essaie-t-elle de m'enmener en bateau dans de l'anti-américanisme ne sachant pas faire la part des choses ?


Globalement je trouve qu'elle a de la difficulté à doser ses commentaires. Elle en perd de la crédibilité. Sinon c'est très bon et probablement qu'un jour je pourrai la lire sans me questionner sur la qualité de la recherche ou la tentative de lavage de cerveau à mon égard.


... Je commence à croire qu'il faudra la lire plus souvent ;-) C'est l'fun les sorties de route, ça suscite des questions, des "chocs cognitifs". Et au fait, c'est beaucoup de travail écrire avec rigueur, je viens d'en faire l'exercice et ce n'est que des commentaires sur un texte.


Elle a aussi écrit ce texte que je trouve très bon ! Très actuel même s'il date du 4 août 2006 : Israël-Hamas

Global News Enterprises

Un concept super intéressant.

À suivre lundi le 12 qui vient; c'est le lancement.

Global_News_Enterprises

Wednesday, January 07, 2009

Escher

Un vieu classique. Le rêve de tout ingénieur ;-)

J'adore particulièrement sa phase "paradoxe" dont "Relativity" de 1953

Son site