Histoire de flotter dans l'univers du petit...
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Tuesday, November 03, 2009
Saturday, October 31, 2009
TED - Spreading Ideas

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TED
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TED is a small nonprofit devoted to Ideas Worth Spreading. It started out (in 1984) as a conference bringing together people from three worlds: Technology, Entertainment, Design.
Our mission: Spreading ideas.
We believe passionately in the power of ideas to change attitudes, lives and ultimately, the world. So we're building here a clearinghouse that offers free knowledge and inspiration from the world's most inspired thinkers, and also a community of curious souls to engage with ideas and each other.
J'ai fouiné sommairement dans les règles de sponsorship, les commentaires des "attendees, press, bloggers, sponsors". Je n'ai rien trouvé de tordu. J'aime bien, alors je post.
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TED
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Friday, October 30, 2009
Road Trip
Je ne peux pas m'empêcher. Je le trouve "cool" que voulez-vous.
...il ne sais pas encore qu'il se retrouvera ici. Il sera certainement fort gêné. Peut-être ira-t-il jusqu'à me censurer... On verra.
Histoire de comprendre ce qu'ils "rabattent" (un terme du coin de St-Ambroise profond) voir le site de Social Distortion
Et pour les paroles:
Story of my life
High school seemed like such a blur
I didn't have much interest in sports or school elections
And in class I dreamed all day
About a rock 'n' roll weekend
And the girl in the front of the room
So close yet so far
Y'know she never seemed to notice
That this silly school-boy crush wasn't just pretend
Chorus:
Life goes by so fast
You only want to do what you think is right
Close your eyes and then it's past;
(it's the) story of my life
And I went down to my old neighborhood
The faces have all changed, there's no one left to talk to
And the pool hall I loved as a kid is now a seven eleven
I went downtown to look for a job
I had no training, no experience to speak of
I looked at the holes in my jeans and turned and headed back
Chorus
Good times come and good times go
I only wish the good times would last a little longer
I think about the good times we had and why they had to end
So I sit at the edge of my bed
I strum my guitar and I sing an outlaw love song
Wonderin' bout what you're doin' now and when you're comin' back
Chorus
c'est mon frère, Frédéric, à la guitare avec son buddy ? je vous reviens là-dessus
...il ne sais pas encore qu'il se retrouvera ici. Il sera certainement fort gêné. Peut-être ira-t-il jusqu'à me censurer... On verra.
Histoire de comprendre ce qu'ils "rabattent" (un terme du coin de St-Ambroise profond) voir le site de Social Distortion
Et pour les paroles:
Story of my life
High school seemed like such a blur
I didn't have much interest in sports or school elections
And in class I dreamed all day
About a rock 'n' roll weekend
And the girl in the front of the room
So close yet so far
Y'know she never seemed to notice
That this silly school-boy crush wasn't just pretend
Chorus:
Life goes by so fast
You only want to do what you think is right
Close your eyes and then it's past;
(it's the) story of my life
And I went down to my old neighborhood
The faces have all changed, there's no one left to talk to
And the pool hall I loved as a kid is now a seven eleven
I went downtown to look for a job
I had no training, no experience to speak of
I looked at the holes in my jeans and turned and headed back
Chorus
Good times come and good times go
I only wish the good times would last a little longer
I think about the good times we had and why they had to end
So I sit at the edge of my bed
I strum my guitar and I sing an outlaw love song
Wonderin' bout what you're doin' now and when you're comin' back
Chorus
c'est mon frère, Frédéric, à la guitare avec son buddy ? je vous reviens là-dessus
Monday, October 12, 2009
CCTV Ink TV Commercial
Directed by Niko Tziopanos
C'est simplement beau. De l'art en court métrage.
J'ai trouvé ceci sur ce site : Vimeo
Sunday, September 20, 2009
Cheshire Cat

Une pointe de philosophie,
sur la vie,
et le long chemin qu'on y marche.
Sans compter toutes les intersections où l'on doit choisir...
Version courte:
Cheshire Cat: [reappears] There you are! Third chorus...
Alice: Oh, no, no. I was just wondering if you could help me find my way.
Cheshire Cat: Well that depends on where you want to get to.
Alice: Oh, it really doesn't matter, as long as...
Cheshire Cat: Then it really doesn't matter which way you go.
;-) c'est bon ;-)
C'est Jean, mon collègue de Kanata qui m'a fait découvrir ceci.

Version longue:
The Cat only grinned when it saw Alice. It looked good-Source
natured, she thought: still it had VERY long claws and a great
many teeth, so she felt that it ought to be treated with respect.
`Cheshire Puss,' she began, rather timidly, as she did not at
all know whether it would like the name: however, it only
grinned a little wider. `Come, it's pleased so far,' thought
Alice, and she went on. `Would you tell me, please, which way I
ought to go from here?'
`That depends a good deal on where you want to get to,' said
the Cat.
`I don't much care where--' said Alice.
`Then it doesn't matter which way you go,' said the Cat.
`--so long as I get SOMEWHERE,' Alice added as an explanation.
`Oh, you're sure to do that,' said the Cat, `if you only walk
long enough.'
Alice felt that this could not be denied, so she tried another
question.
Monday, September 14, 2009
Alexandra David-Néel

Française 1868 - 1969
Une intense qui dès son plus jeune âge cherche à aller au bout de l'inconnu.
Une femme que je compte parmi "les Grands" car ce qu'elle a fait et à l'époque où elle l'a fait est ... emballant.
- Elle fugue à 2 ans pour aller au bout de la rue ;-)
- Elle multiplie les voyages en Inde, au Tibet, au Japon, en Corée, en Asie Centrale...
- Elle étudie les langues, le sanskrit, le tibétain.
- Elle rencontre et suit les enseignements de grands maîtres
- Elle connaît le silence de l'Himalaya...
- Elle est la première femme occidentale à entrer à Lhasa au Tibet en 1924.
- Elle renouvelle son passeport à 101 ans pour son prochain voyage !
- Elle s'éteint à 101 ans et ces cendres seront transportées à Varanasi pour être dispersées, en 1973, avec celles de son fils adoptif, dans le Gange.
- Et elle a... beaucoup écrit afin de partager tout ce bagagge accumulé.
Pour aller d'un point à un autre, elle a toujours choisi l'itinéraire le plus long et le moyen de locomotion le moins rapide.
"Le Japon m'a déçue, mais sans doute tout m'aurait déçue dans mon état d'esprit. Je ne nie pas les sites charmants d'Atami ; durant mon retour en chemin de fer, j'ai traversé des régions montagneuses ravissantes, mais on peut en voir d'à peu près semblables dans les Cévennes, les Pyrénées, ou les Alpes ! tandis que les Himalayas sont uniques.
A vrai dire, j'ai le "mal du pays" pour un pays qui n'est pas le mien. Les steppes, les solitudes, les neiges éternelles et le grand ciel clair de "là-haut" me hantent ! Les heures difficiles, la faim, le froid, le vent qui me tailladait la figure, me laissait les lèvres tuméfiées, énormes, sanglantes. Les camps dans la neige, dormant dans la boue glacée, tout cela importait peu, ces misères passaient vite et l'on restait perpétuellement immergé dans le silence où seul le vent chantait, dans les solitudes presque vides même de vie végétale, les chaos de roches fantastiques, les pics vertigineux et les horizons de lumière aveuglante. Pays qui semble appartenir à un autre monde, pays de titans ou de dieux ? Je reste ensorcelée.
J'ai été voir là-haut, près des glaciers himalayens, des paysages que peu d'yeux humains ont contemplés, c'était dangereux peut-être et comme dans les fables antiques, les déités se vengent. Mais de quoi se vengent-elles ? de mon audace d'avoir troublé leurs demeures ou de mon abandon après avoir conquis une place auprès d'eux ? Je n'en sais rien, pour le moment je ne sais que ma nostalgie."
Alexandra David-Néel

... Pour en savoir plus
Centre culturel Alexandra David-Néel
Entre autre une liste de ses livres
... ça m'a fait penser à qqchose que j'ai écrit suite à une rencontre fortuite autour de l'Annapurna.. demandez-moi de vous raconter. Et tant qu'à y être, je pourrais vous parler d'Olga, notre héroïne de 5 pieds et 80 ans croisée dans les Tatras.
Thursday, September 10, 2009
Monopoly

Un classique amené à un tout autre niveau.
www.monopolycitystreets.com
Go check it out ;-) mais soyez patient car bien que Google est derrière tout ça, la popularité est telle que c'est très, très lent.
Sunday, August 30, 2009
Près de la rivière durant le festival "Ching-Ming"

Surprenant !
Une ancienne toile chinoise, numérisée, que l'on fait défiler. Tellement riche de détails et si longue que l'on croit à un oeuvre récente à l'aspect ancien. Les auteurs on même intégré des animations vidéo afin d'améliorer l'expérience "d'immersion". Passez-y quelques minutes... dans Chine d'époque je veux dire. Télécino
Le site du Musée où se donne l'exposition (supposons que vous avez des air lousses) : National Palace Museum
Thursday, August 20, 2009
Ronald Reagan
Argutie
Ouf, merci Yves Boivert de la presse ce matin ;-)
Argutie /aʁ.ɡy.si/ féminin
(En général au pluriel) Raisonnement subtil et vainement minutieux.
À quoi rêvais-je ? Ce n'était certainement pas à quelque argutie théologique ; non, c’était à cette lutte éternelle du bien et du mal, qui tiraille l’homme depuis le jour du péché ; … . (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes)
[Revenant sur l'histoire de Lola]
(Yves Boivert, La Presse 20 Août 2009, A5)
Argutie /aʁ.ɡy.si/ féminin
(En général au pluriel) Raisonnement subtil et vainement minutieux.
À quoi rêvais-je ? Ce n'était certainement pas à quelque argutie théologique ; non, c’était à cette lutte éternelle du bien et du mal, qui tiraille l’homme depuis le jour du péché ; … . (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes)
[Revenant sur l'histoire de Lola]
"Il arrive ceci d'étonnant avec les causes sans avenir: quand elles sont bien montées, à grands frais, et gonglées d'arguties de luxe, les tribunaux se sentent obligés d'y répondre tout aussi luxueusement. D'entendre pendant des jours des plaidoiries qui ne vont nulle part."
(Yves Boivert, La Presse 20 Août 2009, A5)
Sunday, August 16, 2009
Sunday, August 09, 2009
Déranger
***
Un long "post" réunissant 3 textes que j'ai écrit. Les deux premiers se lisent mieux, le dernier est plus particulier. À vous de voir si vous aimez ou non.
***
18 septembre 2002
Hier, nous nous sommes questionnés sur l’impact, négatif peut-être, qu’avait ici notre présence. Ces gens nous accueillent ici mais ils n’ont jamais demandé à ce que l’on demeure. Oui Poo et Pidon reçoivent des groupes d’étrangers mais ils ne les gardent habituellement pas chez eux plusieurs jours. Est-ce que nous dérangeons? Là est la question. Nous sommes ici, tout tranquilles et tout souriants. Mais notre seule présence, même silencieuse, « perturbe » l’environnement. Ils voient nos bouteilles d’eau, nos vêtements techniques, nos frontales….ma caméra numérique… tout ceci meuble leur imaginaire de choses qu’ils n’ont pas. Ici, ils vivent avec l’essentiel. Est-ce que ce n’est pas leur donner des rêves hors de portée ? Des rêves d’une vie meilleure, faux, que de se pointer ici?
Ils ont tout ce qu’il faut ici. Tout ce qui est nécessaire à la vie, ils l’ont. Sans superflu. Le seul objet surperflu que j’ai vu, c’est une guitare… pas trop surperflu! Ils vivent ici en symbiose avec la nature –presque- et nous ouvrons un volet sur notre société très attirante mais fausse. La société du spectacle. Est-ce mal ou est-ce bien? Nous pouvons, nous en avons les moyens, venir ici pendant deux semaines puis repartir. Nous pouvons repartir! Eux n’ont pas les moyens de venir jetter un oeil. En ce sens c’est injuste! C’est à sens unique. Ils nous donnent beaucoup, on donne peu. Oui et non. Oui on donne peu en ce sens que l’on est reçu ici ( comme ils le disaient dans le film Québec-Montréal, c’est beaucoup plus engageant de recevoir que d’être reçu.) Et non, nous pouvons dire que l’on donne beaucoup en ce sens que l’on s’intéresse à tout ce qu’ils font, nous sommes ici humbles, le plus possible discrets de notre richesse matérielle, nous donnons des cours d’anglais sans obligation aux intéressés et nous tentons d’apprendre le Thaï. C’est quand même plus que la moyenne des touristes non?
Nous venons ici les comprendre et nous pourrons partager ceci avec nos pairs pour qu’ils comprennent plus. Ainsi ces gens seront traités avec plus de respect. C’est bien non? L’être humain est curieux par nature, nous sommes de bons sujets d’observation. Ils peuvent avoir une image non-tordue de la société dans laquelle nous vivons. Une image qui n’a pas à s’insérer dans les contraintes du petit écran! Si au moins nous pouvions mieux communiquer! Ce serait encore plus vrai! Oui il y a des jeunes qui iront en ville pour travailler, attirés par la richesse des grands centres -faux- Mais ils y en aura aussi qui se contenteront de nous voir pour ne pas souhaiter vivre dans notre monde. C’est peut-être bon ainsi. Pour l’instant il semble que c’est ainsi. De l’autre coté , quel droit avons-nous de les tenir dans l’ignorance? Douce ignorance, tu as permis de dictatoriser tant de peuples, de soumettre tant de nations! Moi en tout cas, je ne voudrais pas et je ne veux pas être tenu dans l’ignorance! Je suis au courant des vies de pacha que vivent les rois, le Sultan du Bruneï, Bill Gates…certains, la plupart en fait des mes contemporains souhaitent ardemment vivre une vie qui tend vers la leur, une vie de luxe, de plaisirs faciles, une vie de consommation. Mais de l’essentiel à la base de la vie, les valeurs de partage, d’amour de soi et de son prochain, d’entraide…plusieurs en sont loin!
J’ai choisi de ne pas consacrer toutes mes énergies à m’acheter la plus grande maison, la plus grosse voiture , les vêtements les plus luxueux parce que je veux que ma vie soit autre chose. J’ai choisi de faire de ma vie, avec les moyens que j’ai, une vie qui me rendrait heureux.
Eux aussi, ici, ont les mêmes choix. Notre seul, et notre plus grand devoir puisqu’ils ne peuvent pas venir vivre les travers de notre société est de leur tracer une image de notre société avec les bons et les mauvais côtés. Voilà, selon moi, comment l’on peut équilibrer la valeur des échanges entre les locaux et nous lorsque nous venons en pays étrangers.
Marie-Julie ajouterait que cette fois-ci la barrière de la langue nous a empêché d’accomplir notre devoir.
Séb
29 septembre 2002
- suite du 18 septembre -
Marie-Julie et moi avons eu une discussion complète ce matin, une autre, – nous retrouvons notre état zen d’hier. Le sujet… encore… l’impact que nous pouvons avoir sur les gens d’ici, surtout sur les locaux des villages isolés. Nouveaux arguments de part et d’autre autour d’une opinion pas mal partagée, sinon défendue dans le respect l’un de l’autre.
Donc les nouveaux arguments ayant rapport à l’influence sur les gens. La philosophie dénuée de droits d’auteurs, à la volée, l’un après l’autre ou l’inverse ;-)
Reportons-nous à l’Europe du Moyen âge, celle insalubre, fermée dans son intégrisme catholique. Quel bien, grand bien a eu l’impact de nouveaux rêves ramenés par les explorateurs! L’Orient et ses beautés, ses traditions millénaires, sa sagesse et ses connaissances en médecine. Ou encore prenons l’Amérique avec ses nouveaux espaces à dompter, cette société à construire. Le rêve d’autres mondes a poussé les gens à se dépasser pour atteindre une partie de cet idéal et l’intégrer à leur vie. Ainsi améliorer, lentement, les conditions dans lesquelles vit toute la société. Les premiers colons en Amérique, les premiers marchands… ont tous été déçus car le rêve qu’ils croyaient enfin réalité au bout d’un voyage s’avérait toujours moins rose que ce qu’ils avaient prévu! Mais à force de travailler ils y ont quand même trouvé le bonheur, la liberté souvent… et des peaux de castors pour les marchands. Mais c’est le rêve qui les poussa à faire le premier pas; comme dans une relation amoureuse.
Même chose avec la ruée vers l’or californienne ou au Yukon canadien. Le rêve de richesses faciles masquait les difficultés..
Même chose pour Abib au Sénégal qui ne voit dans le rêve américain que les bons côtés! Sourd, aveugle et perméable aux côtés négatifs de ce modèle.
Plus près de moi… pensons à Anna Durand, ma grand-mère, qui est allée avec toute sa famille à Danielson, Connecticut, dans l’espoir d’une vie meilleure à travailler pour une manufacture. Une fois la réalité bien présente et le rêve estompé, ils ont compris que le Canada, leur terre natale, était une terre d’accueil plus familière donc plus propice à faire grandir un arbre généalogique avec des racines profondes.
Donc le rêve qui nous pousse en avant est bon; il provoque des choses.
Les gens simples du « Karen’s village » en Thaïlande ne sont pas démunis. Ils n’ont pas d’argent mais avec le rêve et de la volonté ils peuvent utiliser le levier de Chiang Mai pour marcher quelques pas dans la direction de leur rêve.
Nous sommes peu puissants devant la machine médiatique des États-Unis qui vend trop bien les bienfaits du « modèle américain ». Mais notre petite puissance augmente d’autant plus notre devoir, celui de faire connaître le mieux possible les deux revers de la médaille de notre société.
SB
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Ok, pour ce qui suit, ne me lâchez pas ;-) Lisez, pensez-y, commentez. J'ai plusieurs de ces choses, cachées dans mes cahiers, ils sont à la base de l'idée qui a menée à la création de ce blog. Or, c'est beaucoup de travail à mettre en ligne (pour un papa avec deux enfants, un boulot, des rénos...), mais si vous aimez, j'en ajouterai ;-) ... bah... j'en ajouterai peu importe parce que moi j'aime bien. Je m'assume encore, c'est "nerds" je sais.
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Je reprends la réflexion
Je divise le monde en deux (2): ceux qui veulent faire des efforts et ceux qui ne veulent pas. Hier j’ai ajouté la catégorie « ne peuvent pas faire des efforts » mais je l'ai rejetée car je considère que ce genre n’existe pas. Peu importe la mutilation, les retards psychologiques ou autres, tout le monde peut faire des efforts pour améliorer sa condition. Tout le monde ! L’effort doit seulement être mesuré en fonction du référentiel de l’individu, en fonction de ses capacités. Et c'est ce que je compte utiliser pour mesurer l'impact, la progression que le passage d'un touriste dans un société vivant selon des règles ancestrales aurait.
Un c'est toujours un peu importe le système de référence. Ce qui compte pour une progession, ce n'est pas l'amplitude mais la pente qui doit toujours être positive: >= 0. C'est ainsi que l'on peut mesurer la progression, sinon, si la pente est <0 on déconstruit !? Mais si on est en « burn out », est-ce que c’est déconstruire? Oui. Et c’est une pente négative! Il reste donc à déterminer le plafond d’effort de chaque individu. En fait, il n’y a pas de plafond en terme de droite, d'amplitude. Cependant, il y a une enveloppe à l’intérieur de laquelle la courbe doit se situer pour ne pas s'épuiser et risquer la dépression, le "burn-out". En fonction de notre expérience et de nos habiletés, qui se développent tout au long de notre vie, nous pourrons soutenir un effort de plus en plus grand. Ça aussi c’est en fonction des personnes. C'est à l'individu que revient la détermination de l'enveloppe et surtout la reconnaissance des signes de dépassement.
Ajustons l'explication. L’effort c’est la pente de la droite ou la courbe ainsi que la longueur pour laquelle cette pente est constante ou en croissance. L’enveloppe c’est la limite d'énergie propre, à cet individu, à ne pas dépasser.
Ajoutons 2 autres concepts: L’enveloppe minimale et l’inflation. L’enveloppe minimale c’est la limite inférieure de l’état « d’effort activé ». Variable selon les individus, le passage de cette limite indique le début de l’effort. L’inflation, c’est le progrès; L’effort minimal fait par la société dans son ensemble. Donc, selon sa personnalité propre et la société dans laquelle un individu évolue, l’inaction ou « l’ineffort » prendra plus ou moins de temps avant de l’entraîner en « régression »
D'une façon générale, qu’est-ce qui caractérise « l’effort »? Le rythme cardiaque, le taux de consommation de glucides, la fatigue musculaire, le taux de consommation de lipide? Ça c’est valable pour l’effort musculaire, mais encore… l’effort intellectuel? Le cerveau qui travaille peut-il être surveillé? Oui, avec un scanner mais c'est peu transportable. De plus, le cerveau s’adapte. Il change, il apprend. Pour une activité donnée, il doit faire de moins en moins d’effort pour la réussir. Est-ce que la « limite inférieure » peut se caractériser par la capacité à apprendre? Est-ce la même chose tout au long de la vie? Est-ce que l’on doit d’emblée considérer la « courbe », la limite inférieure (Liminf) pour un individu donné comme comprenant deux zones exponentielles de développement puis une zone linéaire en fin de vie (où la pente serait =0)? Non plus, on peut apprendre à tout âge. Pour certain c'est plus laborieux, mais la pente ne devient jamais d/dx=0
D'autre part, dans les indicateurs mondiaux actuels, qu'est-ce qui caractérise la courbe « inflationpaysX »? Peut-on la caractériser par le PNB (Produit National Brut)? Surtout pas! Ramener une nation à un indice, un chiffre, un rang…. C’est tellement réducteur et ce n’est pas représentatif car les individus évoluent dans des environnements différents. Le but est de caractériser leur environnement pour adapter leur graphique d’effort par rapport à « l’inflation » de leurs pairs, au progrès. Un indice comptant les ressources en santé, en éducation, à l’entrepreneurship, l’accès au crédit… un peu comme le classement mondial où le Canada a figuré en tête de liste les derniers 5 ans!? ... classement qui est en soit un chiffre ;-)
Note de l'auteur 1: Au moment d'écrire ces lignes le Canada avait occupé, pendant plusieurs années, la position de tête du classement des pays par l'indice de développement humain. En 2009, le Canada était 4e.
Ndl 2 : Lorsque je présente les taux "d'inflation" des pays en voie de développement (Inde et Thaïlande), je présente toujours le Canada comme ayant une inflation plus grande. Or nous savons tous que c'est faux dans les grandes villes mais lorsque l'on prend comme comparatif des villageois de campagne, les taux approximatifs sont représentatifs.
… je referme des parenthèses…
Donc une mesure de la sorte permettrait de reconnaître le mérite d’un jeune d’une tribu de montagne qui démarre une petite coopérative pratiquement sans aide extérieure (car non disponible) versus le mérite d’un jeune du Québec, gradué des HÉC qui démarre son bureau de marketing avec des subventions gouvernementales. Si l’effort est moindre, le mérite est moindre aussi!
La méthode permettrait-elle de superposer les graphiques? Ou de comparer? On tombe dans un cercle vicieux. Je ne sais pas.
La superposition ou l’évaluation du mérite se ferait de la façon suivante :
Il faut donc améliorer l’analyse des indices pour avoir une évaluation des efforts des individus en fonctionde leur énergie et de leur capacité à l’effort qui est fonction de leur environnement donc de « l’inflation » de la société dans laquelle ils vivent si on considère le modèle d’une courbe 2D.
Là où ça m’amène, en conclusion, c’est à la discussion que Marie et moi avions eu au sujet des pauvres et des gestes à poser à leur égard! Ici (nous étions en Inde à ce moment là) il y en a tellement, de tous acabit que c’en est désarmant. Quoi donner à qui, l’essence de notre dilemme?. Nous choisissons de plus en plus, à chaque fois que nous donnons ou que nous disons « NON », d’encourager ceux qui à nos yeux font des efforts pour s’en sortir. Ceux qui prennent les moyens (bons ou moins bons à nos yeux) pour changer leur condition. Nous allons donner plus et plus facilement à un jeune qui vend des tuques sur la rue qu’à un adulte exhibant sa jambe mutilée. Encore des choix, des perceptions. Moi je vois cet homme mutilé avec une prothèse en train de travailler, son cerveau étant toujours fonctionnel. Alors que ceux dans la rue je les vois comme ayant simplement compris (bien assez intelligent pour cela) que le touriste moyen se laisse attendrir à la vue de leur jambe atrophiée/mutilée et qu’ils peuvent vivre des dons reçus.
Je me laisse aussi attendrir par ces pauvres gens qui ne savent plus où commencer à pousser, à tirer… pour faire un effort. Ils sont mêlés. Je crois simplement que ce n’est pas les aider à trouver le bon chemin pour s’en sortir que de les soutenir alors qu’ils traversent les Limbes (« La faim justifie les moyens »). Lorsqu'ils errent, on sent que c’est hors de leurs capacités de se sortir de la rue. Et c'est ce dépouillement de ressources, cette vulnérabilité qui touche, toujours.
SB
24-décembre-2002
Retravaillé 16 août 2009, 15 mars 2010
Un long "post" réunissant 3 textes que j'ai écrit. Les deux premiers se lisent mieux, le dernier est plus particulier. À vous de voir si vous aimez ou non.
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18 septembre 2002
Hier, nous nous sommes questionnés sur l’impact, négatif peut-être, qu’avait ici notre présence. Ces gens nous accueillent ici mais ils n’ont jamais demandé à ce que l’on demeure. Oui Poo et Pidon reçoivent des groupes d’étrangers mais ils ne les gardent habituellement pas chez eux plusieurs jours. Est-ce que nous dérangeons? Là est la question. Nous sommes ici, tout tranquilles et tout souriants. Mais notre seule présence, même silencieuse, « perturbe » l’environnement. Ils voient nos bouteilles d’eau, nos vêtements techniques, nos frontales….ma caméra numérique… tout ceci meuble leur imaginaire de choses qu’ils n’ont pas. Ici, ils vivent avec l’essentiel. Est-ce que ce n’est pas leur donner des rêves hors de portée ? Des rêves d’une vie meilleure, faux, que de se pointer ici?
Ils ont tout ce qu’il faut ici. Tout ce qui est nécessaire à la vie, ils l’ont. Sans superflu. Le seul objet surperflu que j’ai vu, c’est une guitare… pas trop surperflu! Ils vivent ici en symbiose avec la nature –presque- et nous ouvrons un volet sur notre société très attirante mais fausse. La société du spectacle. Est-ce mal ou est-ce bien? Nous pouvons, nous en avons les moyens, venir ici pendant deux semaines puis repartir. Nous pouvons repartir! Eux n’ont pas les moyens de venir jetter un oeil. En ce sens c’est injuste! C’est à sens unique. Ils nous donnent beaucoup, on donne peu. Oui et non. Oui on donne peu en ce sens que l’on est reçu ici ( comme ils le disaient dans le film Québec-Montréal, c’est beaucoup plus engageant de recevoir que d’être reçu.) Et non, nous pouvons dire que l’on donne beaucoup en ce sens que l’on s’intéresse à tout ce qu’ils font, nous sommes ici humbles, le plus possible discrets de notre richesse matérielle, nous donnons des cours d’anglais sans obligation aux intéressés et nous tentons d’apprendre le Thaï. C’est quand même plus que la moyenne des touristes non?
Nous venons ici les comprendre et nous pourrons partager ceci avec nos pairs pour qu’ils comprennent plus. Ainsi ces gens seront traités avec plus de respect. C’est bien non? L’être humain est curieux par nature, nous sommes de bons sujets d’observation. Ils peuvent avoir une image non-tordue de la société dans laquelle nous vivons. Une image qui n’a pas à s’insérer dans les contraintes du petit écran! Si au moins nous pouvions mieux communiquer! Ce serait encore plus vrai! Oui il y a des jeunes qui iront en ville pour travailler, attirés par la richesse des grands centres -faux- Mais ils y en aura aussi qui se contenteront de nous voir pour ne pas souhaiter vivre dans notre monde. C’est peut-être bon ainsi. Pour l’instant il semble que c’est ainsi. De l’autre coté , quel droit avons-nous de les tenir dans l’ignorance? Douce ignorance, tu as permis de dictatoriser tant de peuples, de soumettre tant de nations! Moi en tout cas, je ne voudrais pas et je ne veux pas être tenu dans l’ignorance! Je suis au courant des vies de pacha que vivent les rois, le Sultan du Bruneï, Bill Gates…certains, la plupart en fait des mes contemporains souhaitent ardemment vivre une vie qui tend vers la leur, une vie de luxe, de plaisirs faciles, une vie de consommation. Mais de l’essentiel à la base de la vie, les valeurs de partage, d’amour de soi et de son prochain, d’entraide…plusieurs en sont loin!
J’ai choisi de ne pas consacrer toutes mes énergies à m’acheter la plus grande maison, la plus grosse voiture , les vêtements les plus luxueux parce que je veux que ma vie soit autre chose. J’ai choisi de faire de ma vie, avec les moyens que j’ai, une vie qui me rendrait heureux.
Eux aussi, ici, ont les mêmes choix. Notre seul, et notre plus grand devoir puisqu’ils ne peuvent pas venir vivre les travers de notre société est de leur tracer une image de notre société avec les bons et les mauvais côtés. Voilà, selon moi, comment l’on peut équilibrer la valeur des échanges entre les locaux et nous lorsque nous venons en pays étrangers.
Marie-Julie ajouterait que cette fois-ci la barrière de la langue nous a empêché d’accomplir notre devoir.
Séb
29 septembre 2002
- suite du 18 septembre -
Marie-Julie et moi avons eu une discussion complète ce matin, une autre, – nous retrouvons notre état zen d’hier. Le sujet… encore… l’impact que nous pouvons avoir sur les gens d’ici, surtout sur les locaux des villages isolés. Nouveaux arguments de part et d’autre autour d’une opinion pas mal partagée, sinon défendue dans le respect l’un de l’autre.
Donc les nouveaux arguments ayant rapport à l’influence sur les gens. La philosophie dénuée de droits d’auteurs, à la volée, l’un après l’autre ou l’inverse ;-)
Reportons-nous à l’Europe du Moyen âge, celle insalubre, fermée dans son intégrisme catholique. Quel bien, grand bien a eu l’impact de nouveaux rêves ramenés par les explorateurs! L’Orient et ses beautés, ses traditions millénaires, sa sagesse et ses connaissances en médecine. Ou encore prenons l’Amérique avec ses nouveaux espaces à dompter, cette société à construire. Le rêve d’autres mondes a poussé les gens à se dépasser pour atteindre une partie de cet idéal et l’intégrer à leur vie. Ainsi améliorer, lentement, les conditions dans lesquelles vit toute la société. Les premiers colons en Amérique, les premiers marchands… ont tous été déçus car le rêve qu’ils croyaient enfin réalité au bout d’un voyage s’avérait toujours moins rose que ce qu’ils avaient prévu! Mais à force de travailler ils y ont quand même trouvé le bonheur, la liberté souvent… et des peaux de castors pour les marchands. Mais c’est le rêve qui les poussa à faire le premier pas; comme dans une relation amoureuse.
Même chose avec la ruée vers l’or californienne ou au Yukon canadien. Le rêve de richesses faciles masquait les difficultés..
Même chose pour Abib au Sénégal qui ne voit dans le rêve américain que les bons côtés! Sourd, aveugle et perméable aux côtés négatifs de ce modèle.
Plus près de moi… pensons à Anna Durand, ma grand-mère, qui est allée avec toute sa famille à Danielson, Connecticut, dans l’espoir d’une vie meilleure à travailler pour une manufacture. Une fois la réalité bien présente et le rêve estompé, ils ont compris que le Canada, leur terre natale, était une terre d’accueil plus familière donc plus propice à faire grandir un arbre généalogique avec des racines profondes.
Donc le rêve qui nous pousse en avant est bon; il provoque des choses.
Les gens simples du « Karen’s village » en Thaïlande ne sont pas démunis. Ils n’ont pas d’argent mais avec le rêve et de la volonté ils peuvent utiliser le levier de Chiang Mai pour marcher quelques pas dans la direction de leur rêve.
Nous sommes peu puissants devant la machine médiatique des États-Unis qui vend trop bien les bienfaits du « modèle américain ». Mais notre petite puissance augmente d’autant plus notre devoir, celui de faire connaître le mieux possible les deux revers de la médaille de notre société.
SB
*** *** ***
Ok, pour ce qui suit, ne me lâchez pas ;-) Lisez, pensez-y, commentez. J'ai plusieurs de ces choses, cachées dans mes cahiers, ils sont à la base de l'idée qui a menée à la création de ce blog. Or, c'est beaucoup de travail à mettre en ligne (pour un papa avec deux enfants, un boulot, des rénos...), mais si vous aimez, j'en ajouterai ;-) ... bah... j'en ajouterai peu importe parce que moi j'aime bien. Je m'assume encore, c'est "nerds" je sais.
*** *** ***
Je reprends la réflexion
Je divise le monde en deux (2): ceux qui veulent faire des efforts et ceux qui ne veulent pas. Hier j’ai ajouté la catégorie « ne peuvent pas faire des efforts » mais je l'ai rejetée car je considère que ce genre n’existe pas. Peu importe la mutilation, les retards psychologiques ou autres, tout le monde peut faire des efforts pour améliorer sa condition. Tout le monde ! L’effort doit seulement être mesuré en fonction du référentiel de l’individu, en fonction de ses capacités. Et c'est ce que je compte utiliser pour mesurer l'impact, la progression que le passage d'un touriste dans un société vivant selon des règles ancestrales aurait.
Un c'est toujours un peu importe le système de référence. Ce qui compte pour une progession, ce n'est pas l'amplitude mais la pente qui doit toujours être positive: >= 0. C'est ainsi que l'on peut mesurer la progression, sinon, si la pente est <0 on déconstruit !? Mais si on est en « burn out », est-ce que c’est déconstruire? Oui. Et c’est une pente négative! Il reste donc à déterminer le plafond d’effort de chaque individu. En fait, il n’y a pas de plafond en terme de droite, d'amplitude. Cependant, il y a une enveloppe à l’intérieur de laquelle la courbe doit se situer pour ne pas s'épuiser et risquer la dépression, le "burn-out". En fonction de notre expérience et de nos habiletés, qui se développent tout au long de notre vie, nous pourrons soutenir un effort de plus en plus grand. Ça aussi c’est en fonction des personnes. C'est à l'individu que revient la détermination de l'enveloppe et surtout la reconnaissance des signes de dépassement.
Ajustons l'explication. L’effort c’est la pente de la droite ou la courbe ainsi que la longueur pour laquelle cette pente est constante ou en croissance. L’enveloppe c’est la limite d'énergie propre, à cet individu, à ne pas dépasser.
Ajoutons 2 autres concepts: L’enveloppe minimale et l’inflation. L’enveloppe minimale c’est la limite inférieure de l’état « d’effort activé ». Variable selon les individus, le passage de cette limite indique le début de l’effort. L’inflation, c’est le progrès; L’effort minimal fait par la société dans son ensemble. Donc, selon sa personnalité propre et la société dans laquelle un individu évolue, l’inaction ou « l’ineffort » prendra plus ou moins de temps avant de l’entraîner en « régression »
D'une façon générale, qu’est-ce qui caractérise « l’effort »? Le rythme cardiaque, le taux de consommation de glucides, la fatigue musculaire, le taux de consommation de lipide? Ça c’est valable pour l’effort musculaire, mais encore… l’effort intellectuel? Le cerveau qui travaille peut-il être surveillé? Oui, avec un scanner mais c'est peu transportable. De plus, le cerveau s’adapte. Il change, il apprend. Pour une activité donnée, il doit faire de moins en moins d’effort pour la réussir. Est-ce que la « limite inférieure » peut se caractériser par la capacité à apprendre? Est-ce la même chose tout au long de la vie? Est-ce que l’on doit d’emblée considérer la « courbe », la limite inférieure (Liminf) pour un individu donné comme comprenant deux zones exponentielles de développement puis une zone linéaire en fin de vie (où la pente serait =0)? Non plus, on peut apprendre à tout âge. Pour certain c'est plus laborieux, mais la pente ne devient jamais d/dx=0
D'autre part, dans les indicateurs mondiaux actuels, qu'est-ce qui caractérise la courbe « inflationpaysX »? Peut-on la caractériser par le PNB (Produit National Brut)? Surtout pas! Ramener une nation à un indice, un chiffre, un rang…. C’est tellement réducteur et ce n’est pas représentatif car les individus évoluent dans des environnements différents. Le but est de caractériser leur environnement pour adapter leur graphique d’effort par rapport à « l’inflation » de leurs pairs, au progrès. Un indice comptant les ressources en santé, en éducation, à l’entrepreneurship, l’accès au crédit… un peu comme le classement mondial où le Canada a figuré en tête de liste les derniers 5 ans!? ... classement qui est en soit un chiffre ;-)
Note de l'auteur 1: Au moment d'écrire ces lignes le Canada avait occupé, pendant plusieurs années, la position de tête du classement des pays par l'indice de développement humain. En 2009, le Canada était 4e.
Ndl 2 : Lorsque je présente les taux "d'inflation" des pays en voie de développement (Inde et Thaïlande), je présente toujours le Canada comme ayant une inflation plus grande. Or nous savons tous que c'est faux dans les grandes villes mais lorsque l'on prend comme comparatif des villageois de campagne, les taux approximatifs sont représentatifs.
… je referme des parenthèses…
Donc une mesure de la sorte permettrait de reconnaître le mérite d’un jeune d’une tribu de montagne qui démarre une petite coopérative pratiquement sans aide extérieure (car non disponible) versus le mérite d’un jeune du Québec, gradué des HÉC qui démarre son bureau de marketing avec des subventions gouvernementales. Si l’effort est moindre, le mérite est moindre aussi!
La méthode permettrait-elle de superposer les graphiques? Ou de comparer? On tombe dans un cercle vicieux. Je ne sais pas.
La superposition ou l’évaluation du mérite se ferait de la façon suivante :
Il faut donc améliorer l’analyse des indices pour avoir une évaluation des efforts des individus en fonctionde leur énergie et de leur capacité à l’effort qui est fonction de leur environnement donc de « l’inflation » de la société dans laquelle ils vivent si on considère le modèle d’une courbe 2D.
Là où ça m’amène, en conclusion, c’est à la discussion que Marie et moi avions eu au sujet des pauvres et des gestes à poser à leur égard! Ici (nous étions en Inde à ce moment là) il y en a tellement, de tous acabit que c’en est désarmant. Quoi donner à qui, l’essence de notre dilemme?. Nous choisissons de plus en plus, à chaque fois que nous donnons ou que nous disons « NON », d’encourager ceux qui à nos yeux font des efforts pour s’en sortir. Ceux qui prennent les moyens (bons ou moins bons à nos yeux) pour changer leur condition. Nous allons donner plus et plus facilement à un jeune qui vend des tuques sur la rue qu’à un adulte exhibant sa jambe mutilée. Encore des choix, des perceptions. Moi je vois cet homme mutilé avec une prothèse en train de travailler, son cerveau étant toujours fonctionnel. Alors que ceux dans la rue je les vois comme ayant simplement compris (bien assez intelligent pour cela) que le touriste moyen se laisse attendrir à la vue de leur jambe atrophiée/mutilée et qu’ils peuvent vivre des dons reçus.
Je me laisse aussi attendrir par ces pauvres gens qui ne savent plus où commencer à pousser, à tirer… pour faire un effort. Ils sont mêlés. Je crois simplement que ce n’est pas les aider à trouver le bon chemin pour s’en sortir que de les soutenir alors qu’ils traversent les Limbes (« La faim justifie les moyens »). Lorsqu'ils errent, on sent que c’est hors de leurs capacités de se sortir de la rue. Et c'est ce dépouillement de ressources, cette vulnérabilité qui touche, toujours.
SB
24-décembre-2002
Retravaillé 16 août 2009, 15 mars 2010
Tuesday, July 07, 2009
Houspiller
J'adore la langue française ! Un mot cool que j'ai débusqué:
Houspiller :
1. Tirailler et secouer quelqu’un pour le maltraiter, pour le tourmenter.
2. (Figuré) Maltraiter quelqu’un de paroles, le critiquer, le réprimander avec aigreur ou avec malice.
Houspiller :
1. Tirailler et secouer quelqu’un pour le maltraiter, pour le tourmenter.
2. (Figuré) Maltraiter quelqu’un de paroles, le critiquer, le réprimander avec aigreur ou avec malice.
Émonder - Élaguer
Thursday, June 25, 2009
AOV - Angle of View
Very technical, but soo interesting for those who dare dive in it !
My beloved Rebel Xt's DSLR is an APS-C (1.6x)
It a B&H article. You can find it here until it's archived.
The "reproduced version" follows...
Angles-of-View
A Cure for Chronic Millimeter Malaise
By Allan Weitz
In an earlier chapter of my life I taught photography part-time at a local community college. One of my co-workers, a fellow named Pietr, whose last name I could never pronounce let alone spell, had a novel way of introducing his Photo 101 students to their cameras. He would start off by having them wander about, focus on things that catch their eye, and before pressing the shutter button, peer over the viewfinder and try to visualize where the borders of the image were based on what they saw in the viewfinder.
When he felt they understood the point of this exercise, he gave them their first assignment. But before they left for the day he did one more thing… he covered the viewfinders of each of their cameras with black tape. Like pilots flying a plane in pea soup fog, they had to shoot the assignment by 'feel' (minus the crash-and-burn factor). What was interesting is how many strong images were produced by many of the students, and I attribute it to Pietr's methodology of teaching them to be able to pre-visualize the image based on an understanding of the camera lens's angle-of-view.
In the beginning…
Not long ago, when film was the only game in town the angle-of-view (AOV) of any given lens was a known entity. This was due to the near-universal acceptance of 35mm film as the format of choice among professionals and amateurs alike. Medium-format and larger-format cameras had their place in the world, but for the vast majority of photo enthusiasts, 35mm film was the mother tongue of photography.
As such, it was easy to describe a lens according to its focal length. A 28mm lens was always a wide-angle lens and a 105mm lens was always the ideal portrait lens. Shooting sports? You'll want a lens of at least 300mm, maybe longer. But that logic no longer holds up in practice.
But that was then… and now we're digital
Today the parameters and logic of the traditional 35mm camera system are greatly compromised by the multiple format choices made available by camera manufacturers. Currently there are 5 DSLR sensor sizes; full-frame, APS-H (1.3x), APS-C (1.5x & 1.6x), Foveon (1.7x), and 4/3 (2x). Add to this equation the 5 quirkier-sized sensors found in point-and-shoot digicams (2/3", 1/1.6", 1/1.7", 1/1.8", & 1/2.5") and you wind up with a total of 10 distinct imaging formats.
For the record, only the 5 larger DSLR sensor formats have reliable magnification factors (1.5x, 1.6x, 2x). For the 5 smaller point-and-shoot cameras, it's still the Wild West when it comes to the measurement standards. That said it makes sense to focus on the AOV factor when comparing lenses from one format to another. To better illustrate the differences between the various imaging sensors we've included the following sensor-size comparison chart.

OK… now what?
The result is we can no longer accurately reference lenses in terms of millimeters because depending on which camera you are using, a 100 mm lens, a 50mm lens, and a 17mm lens can produce images with near-identical fields-of-view.
To eliminate all this confusion, perhaps it's time to stop thinking of lenses in terms of millimeters and instead identify lenses in terms of their angles-of-view. Angles-of-view (AOV) are a constant. An 84° AOV will always identify the lens as a wide-angle. On a DSLR containing a full-frame (24x36mm) sensor this would translate into a 24mm lens, while on a Leica M8 (1.3x) it would be closer to an 18mm lens, and a 12mm lens on a 4/3-system camera (2x). There will be subtle differences between each of the resulting images based on the sensor size, but the angle-of-view will always appear the same.
Note- The angle-of-view (AOV) and field-of-view (FOV) of a lens are similar but distinct in the way they describe the measurements (length, width, and/or diameter) of a photographic image. The field-of-view is a linear measurement of the image in feet, inches, meters, etc, while the angle-of-view is the length, width, and/or diameter of the image described in terms of degrees of viewing coverage.
To (hopefully) shed light on the subject, I have assembled the following AOV chart, which illustrates the relationships between the focal lengths of lenses and the 10 format options afforded by our cameras. Because of the variety of point-&-shoot chip sizes – and the way manufacturers measure them – we decided to enter focal-length ranges instead of specific fixed focal lengths because breaking it down to exacting focal lengths would be akin to water boarding.
In a sense, this point-of-view is the opposite of the way manufacturers describe lenses as being 'equivalents of a such-and-such millimeter lens on a 35mm camera'. By letting go of the 35mm reference points you can start thinking of lenses in terms of their respective (and easier to reconcile) angles-of-view regardless of the optic's millimeter ranking.
My beloved Rebel Xt's DSLR is an APS-C (1.6x)
It a B&H article. You can find it here until it's archived.
The "reproduced version" follows...
Angles-of-View
A Cure for Chronic Millimeter Malaise
By Allan Weitz
In an earlier chapter of my life I taught photography part-time at a local community college. One of my co-workers, a fellow named Pietr, whose last name I could never pronounce let alone spell, had a novel way of introducing his Photo 101 students to their cameras. He would start off by having them wander about, focus on things that catch their eye, and before pressing the shutter button, peer over the viewfinder and try to visualize where the borders of the image were based on what they saw in the viewfinder.
When he felt they understood the point of this exercise, he gave them their first assignment. But before they left for the day he did one more thing… he covered the viewfinders of each of their cameras with black tape. Like pilots flying a plane in pea soup fog, they had to shoot the assignment by 'feel' (minus the crash-and-burn factor). What was interesting is how many strong images were produced by many of the students, and I attribute it to Pietr's methodology of teaching them to be able to pre-visualize the image based on an understanding of the camera lens's angle-of-view.
In the beginning…
Not long ago, when film was the only game in town the angle-of-view (AOV) of any given lens was a known entity. This was due to the near-universal acceptance of 35mm film as the format of choice among professionals and amateurs alike. Medium-format and larger-format cameras had their place in the world, but for the vast majority of photo enthusiasts, 35mm film was the mother tongue of photography.
As such, it was easy to describe a lens according to its focal length. A 28mm lens was always a wide-angle lens and a 105mm lens was always the ideal portrait lens. Shooting sports? You'll want a lens of at least 300mm, maybe longer. But that logic no longer holds up in practice.
But that was then… and now we're digital
Today the parameters and logic of the traditional 35mm camera system are greatly compromised by the multiple format choices made available by camera manufacturers. Currently there are 5 DSLR sensor sizes; full-frame, APS-H (1.3x), APS-C (1.5x & 1.6x), Foveon (1.7x), and 4/3 (2x). Add to this equation the 5 quirkier-sized sensors found in point-and-shoot digicams (2/3", 1/1.6", 1/1.7", 1/1.8", & 1/2.5") and you wind up with a total of 10 distinct imaging formats.
For the record, only the 5 larger DSLR sensor formats have reliable magnification factors (1.5x, 1.6x, 2x). For the 5 smaller point-and-shoot cameras, it's still the Wild West when it comes to the measurement standards. That said it makes sense to focus on the AOV factor when comparing lenses from one format to another. To better illustrate the differences between the various imaging sensors we've included the following sensor-size comparison chart.

OK… now what?
The result is we can no longer accurately reference lenses in terms of millimeters because depending on which camera you are using, a 100 mm lens, a 50mm lens, and a 17mm lens can produce images with near-identical fields-of-view.
To eliminate all this confusion, perhaps it's time to stop thinking of lenses in terms of millimeters and instead identify lenses in terms of their angles-of-view. Angles-of-view (AOV) are a constant. An 84° AOV will always identify the lens as a wide-angle. On a DSLR containing a full-frame (24x36mm) sensor this would translate into a 24mm lens, while on a Leica M8 (1.3x) it would be closer to an 18mm lens, and a 12mm lens on a 4/3-system camera (2x). There will be subtle differences between each of the resulting images based on the sensor size, but the angle-of-view will always appear the same.
Note- The angle-of-view (AOV) and field-of-view (FOV) of a lens are similar but distinct in the way they describe the measurements (length, width, and/or diameter) of a photographic image. The field-of-view is a linear measurement of the image in feet, inches, meters, etc, while the angle-of-view is the length, width, and/or diameter of the image described in terms of degrees of viewing coverage.
To (hopefully) shed light on the subject, I have assembled the following AOV chart, which illustrates the relationships between the focal lengths of lenses and the 10 format options afforded by our cameras. Because of the variety of point-&-shoot chip sizes – and the way manufacturers measure them – we decided to enter focal-length ranges instead of specific fixed focal lengths because breaking it down to exacting focal lengths would be akin to water boarding.
In a sense, this point-of-view is the opposite of the way manufacturers describe lenses as being 'equivalents of a such-and-such millimeter lens on a 35mm camera'. By letting go of the 35mm reference points you can start thinking of lenses in terms of their respective (and easier to reconcile) angles-of-view regardless of the optic's millimeter ranking.

Friday, June 19, 2009
Tuesday, June 16, 2009
René Richard
Histoire de vous donner un éventail plus large de ce qui me passionne, voici René Richard. Un artiste que j'ai pris quelques temps à apprécier mais qui aujourd'hui me fascine par sa composition unique, ses choix de couleurs, ses traits riches, énergiques et la pureté des thèmes choisis.

Un grand maître de chez nous qui a été découvert par mes parents lors d'une rencontre fortuite avec M. Gilles Brown de la galerie Clarence Gagnon. ...allez vous égarer dans la salle d'exposition des grands maîtres ou dans l'onglet "artiste"
Pour une fois, maman, je reconnais que m'avoir traîné dans les musées d'art étant petit aura servi à quelque chose ;-)

Un grand maître de chez nous qui a été découvert par mes parents lors d'une rencontre fortuite avec M. Gilles Brown de la galerie Clarence Gagnon. ...allez vous égarer dans la salle d'exposition des grands maîtres ou dans l'onglet "artiste"
Pour une fois, maman, je reconnais que m'avoir traîné dans les musées d'art étant petit aura servi à quelque chose ;-)
Friday, June 05, 2009
Jacques Prévert
J'ai trouvé hier quelques citations colorées de Jacques Prévert. Je vous laisse apprécier :
Et pour ceux qui souhaitent en connaître plus sur lui, sans trop d'efforts, voici
Au fait, c'est lui qui a fixé le terme "cadavre exquis"
_ _ _
"J'ai pensé parfois mettre fin à mes jours, mais je n'ai pas su par lequel commencer."
"Dieu fait ce qu'il peut de ses mains, mais le diable fait beaucoup mieux avec sa queue."
"Untel est mort. Pourquoi irai-je à son enterrement puisque, j'en suis certain, il n'ira pas au mien?"
Et pour ceux qui souhaitent en connaître plus sur lui, sans trop d'efforts, voici
Au fait, c'est lui qui a fixé le terme "cadavre exquis"
_ _ _
Thursday, June 04, 2009
La systémisation sociologique
Saturday, May 30, 2009
Textes tapas - Lancement
Voilà, je me lance dans le vide de votre appréciation.
J'ouvre aujourd'hui toutes grandes les fenêtres sur mes écrits et ce, via un nouveau blog, Textes Tapas.
À quoi bon attendre, de quoi ai-je peur ? En alimentant la discussion, je "dérange" le système plus tôt dans ma vie. Où tout ceci va me mener, je ne le sais pas. D'ailleurs je ne sais pas non plus où j'irais si je gardais tout ceci pour moi.
Voici donc, sorti tout droit de mes nombreux cahier d'écriture, des textes que j'ai
écrits, anciens et nouveaux, de tous les styles, histoire de vous
délecter l'esprit avec des surprises. Tout comme les "tapas", vous pouvez les déguster un à un, ou plusieurs à la fois pour les gourmands.
J'espère que vous allez aimer. Si vous n'aimez pas, à tout le moins faites-moi un commentaire constructif afin que je retravaille le tout.
PROJET
J'ai un projet que j'aimerais réaliser avec votre aide et qui part de ces textes. Je souhaite mettre ces textes en images. L'interprétation que vous ferez de mes textes sera basée sur votre expérience personnelle. Je vous invite, la main grande ouverte, à me soumettre photos et textes qui seront inspirés par ce que j'ai écrit. Je vais joindre ce que vous allez m'envoyer aux textes correspondant.
Mon image préférée précèdera le texte, les autres suivront. C'est comme un combat des images.
Plongez dans cette fenêtre sur mon esprit ;-)
Sébastien
E: 30 mai 2009
J'ouvre aujourd'hui toutes grandes les fenêtres sur mes écrits et ce, via un nouveau blog, Textes Tapas.
À quoi bon attendre, de quoi ai-je peur ? En alimentant la discussion, je "dérange" le système plus tôt dans ma vie. Où tout ceci va me mener, je ne le sais pas. D'ailleurs je ne sais pas non plus où j'irais si je gardais tout ceci pour moi.
Voici donc, sorti tout droit de mes nombreux cahier d'écriture, des textes que j'ai
écrits, anciens et nouveaux, de tous les styles, histoire de vous
délecter l'esprit avec des surprises. Tout comme les "tapas", vous pouvez les déguster un à un, ou plusieurs à la fois pour les gourmands.
J'espère que vous allez aimer. Si vous n'aimez pas, à tout le moins faites-moi un commentaire constructif afin que je retravaille le tout.
PROJET
J'ai un projet que j'aimerais réaliser avec votre aide et qui part de ces textes. Je souhaite mettre ces textes en images. L'interprétation que vous ferez de mes textes sera basée sur votre expérience personnelle. Je vous invite, la main grande ouverte, à me soumettre photos et textes qui seront inspirés par ce que j'ai écrit. Je vais joindre ce que vous allez m'envoyer aux textes correspondant.
Mon image préférée précèdera le texte, les autres suivront. C'est comme un combat des images.
Plongez dans cette fenêtre sur mon esprit ;-)
Sébastien
E: 30 mai 2009
Friday, May 29, 2009
Fusée

Water Rocket.
Ok, c'est pour les bas bruns, ... les "ing" qui ont des matrices dans le sang, des crayons dans la poche de chemise, des calculatrices scientifiques pouvant envoyer une fusée sur la lune dans la poche arrière de leur jeans et... des bas bruns.
Mais, c'est un rêve de papa enfant !!!
Water Rocket !
Wednesday, May 20, 2009
Film : HOME
Synopsis
Voilà, c'est un rendez-vous pour le 5 juin. Vous pouvez le télécharger le matin du 5 juin à cette adresse.
Film en anglais : HOME (Vous pouvez choisir la langue dans le coin supérieur gauche du site)
En 200 000 ans d'existence, l'homme a rompu un équilibre fait de près de 4 milliards d'année d'évolution de la Terre. Le prix à payer est lourd, mais il est trop tard pour être pessimiste : il reste à peine dix ans à l'humanité pour inverser la tendance, prendre conscience de son exploitation démesurée des richesses de la Terre, et changer son mode de consommation.
Voilà, c'est un rendez-vous pour le 5 juin. Vous pouvez le télécharger le matin du 5 juin à cette adresse.
Film en anglais : HOME (Vous pouvez choisir la langue dans le coin supérieur gauche du site)
Cocktail DB
Hey, j'ai un ami avocat. Du genre qu'il trouve mon site trop... ésotérique. Bien pour lui, j'ai pensé ajouté ceci: Une base de donnée de cocktail. Il me semble que pour se détendre l'esprit, c'est ce qu'il lui fallait ;-)
Voir ceux-ci:
- Mojito
- Sex on the beach
Voir ceux-ci:
- Mojito
- Sex on the beach
Thursday, May 07, 2009
La photo infinie
Commencez par 20 clics de "profondeur".
Vous devriez commencer à comprendre ! ;-)
La photo infinie
A-M-A-Z-I-N-G
... mon pari : une combinaison de mathématiques fractale et de photos associées à un pixel de couleur. Hot quand même ! J'aimerais bien voir Michel H. coder ça en assembleur !
Vous devriez commencer à comprendre ! ;-)
La photo infinie
A-M-A-Z-I-N-G
... mon pari : une combinaison de mathématiques fractale et de photos associées à un pixel de couleur. Hot quand même ! J'aimerais bien voir Michel H. coder ça en assembleur !
12 reasons to stop drinking bottled water
Une suggestion de Fred.
C'est un texte excellent !
Le texte
La source, un blog fort intéressant lui même ;-)
Au cas où le lien se perdrait... voici le texte :
December 29th, 2008 - David ?
It is a common misconception for many people that bottled water is safer than tap, plastic bottles get recycled, and no harm is being done to the environment in the bottling process. Unfortunately, that could not be further from the truth! So in case you either needed more reasons to stop drinking bottled water, or a few extra talking points when discussing with your friends, I have assembled 12 solid reasons to kick the bottled water habit:
Have you kicked the bottled water habit? We finally did a few years ago, when we started using reusable bottles and filtered tap water from our house. So what do you think? Think we can encourage more people to get rid of their bottled water?
C'est un texte excellent !
Le texte
La source, un blog fort intéressant lui même ;-)
Au cas où le lien se perdrait... voici le texte :
December 29th, 2008 - David ?
It is a common misconception for many people that bottled water is safer than tap, plastic bottles get recycled, and no harm is being done to the environment in the bottling process. Unfortunately, that could not be further from the truth! So in case you either needed more reasons to stop drinking bottled water, or a few extra talking points when discussing with your friends, I have assembled 12 solid reasons to kick the bottled water habit:
1- American tap water is among the safest in the world.
2- As much as 40% of the bottled water sold in the U.S. is just filtered tap water anyway. Be sure to check the label and look for “from a municipal source” or “community water system”, which just means it is tap water.
3- By drinking tap water, you can avoid the fertilizer, pharmaceuticals, disinfectants, and other chemicals that studies have found in bottled water.
4- Tap water costs about $0.002 per gallon compared to the $0.89 to $8.26 per gallon charge for bottled water. If the water we use at home cost what even cheap bottled water costs, our monthly water bills would run $9,000.
5- 88% of empty plastic water bottles in the United States are not recycled. The Container Recycling Institute says that plastic water bottles are disposed of (not recycled) at the rate of 30 million a day.
6- Plastic bottles can leach chemicals into the water if left in the sun, heated up, or reused several times.
7- Production of the plastic (PET or polyethylene) bottles to meet our demand for bottled water takes the equivalent of about 17.6 million barrels of oil (not including transportation costs). That equals the amount of oil required to fuel more than one million vehicles in the U.S. each year. Around the world, bottling water uses about 2.7 million tons of plastic…each year.
8- Bottled water companies mislead communities into giving away their public water in exchange for dangerous jobs.
9- It can take nearly 7 times the amount of water in the bottle to actually make the bottle itself.
10- On a weekly basis, 37,800 18-wheelers are driving around the country delivering water.
11- The EPA sets much more stringent quality standards for tap water than the FDA does for the bottled stuff.
12- One out of 6 people in the world does not have safe drinking water, and about 3,000 children a day die from diseases caught from bad water…that we know of. This while Americans spend about $16 billion a year on bottled water.
Have you kicked the bottled water habit? We finally did a few years ago, when we started using reusable bottles and filtered tap water from our house. So what do you think? Think we can encourage more people to get rid of their bottled water?
Philo des balles de golf dans le pot
Bien oui, c'est un peu "kitch". Mais il y a un fond de vérité que j'endosse et que j'applique. Alors c'est un peu de moi dans ce pot ;-)
J'aime bien la finale, différente de ce que je lis habituellement. Elle rejoint encore une fois, mes valeurs que j'oublie parfois. À notre retour de voyage, je clamais qu'il y aurait toujours une théière de prête pour les passants. Notre porte est toujours ouvertes, mais c'est plaisant de se le faire rappeler.
Finalement en vous présentant le texte ici, j'évite de polluer vos "inbox".
L'histoire d'un pot de mayonnaise et de café.
Quand il te semble qu'il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24
heures ne te semblent pas suffisantes… Rappelle-toi du pot de
mayonnaise et du café !
Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe,
prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à
le remplir avec des balles de golf.
Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants
étaient d'accord pour dire que OUI.
Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le
pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les
balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein.
Ils dirent à nouveau OUI.
Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans
le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces
vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein. Les
étudiants répondirent unanimement OUI.
Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu
du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre
les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire…
Quand ils eurent fini, le prof dit :« Je veux que vous réalisiez que
le pot de mayonnaise représente la vie.
Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille, les
enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même
pleines si on perdait tout le reste et qu'il ne nous restait qu'elles.
Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, la
maison, la voiture, etc...
Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie.
Si on avait versé le sable en premier, il n'y aurait eu de place pour
rien d'autre, ni les billes ni les balles de golf. C'est la même chose
dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps
pour les petites choses, nous n'aurons jamais de place pour les choses
vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales
pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d'aller
chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer
ses loisirs favoris. Il restera toujours du temps pour faire le
ménage, réparer le robinet de la cuisine… Occupez-vous des balles de
golf en premier, des choses qui importent vraiment. établissez des
priorités, le reste n'est que du sable. » Un des étudiants leva alors
la main et demanda ce que représente le café. Le professeur sourit et
dit :« C'est bien que tu demandes. C'était juste pour vous démontrer
que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura
toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. »
J'aime bien la finale, différente de ce que je lis habituellement. Elle rejoint encore une fois, mes valeurs que j'oublie parfois. À notre retour de voyage, je clamais qu'il y aurait toujours une théière de prête pour les passants. Notre porte est toujours ouvertes, mais c'est plaisant de se le faire rappeler.
Finalement en vous présentant le texte ici, j'évite de polluer vos "inbox".
L'histoire d'un pot de mayonnaise et de café.
Quand il te semble qu'il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24
heures ne te semblent pas suffisantes… Rappelle-toi du pot de
mayonnaise et du café !
Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe,
prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à
le remplir avec des balles de golf.
Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants
étaient d'accord pour dire que OUI.
Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le
pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les
balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein.
Ils dirent à nouveau OUI.
Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans
le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces
vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein. Les
étudiants répondirent unanimement OUI.
Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu
du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre
les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire…
Quand ils eurent fini, le prof dit :« Je veux que vous réalisiez que
le pot de mayonnaise représente la vie.
Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille, les
enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même
pleines si on perdait tout le reste et qu'il ne nous restait qu'elles.
Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, la
maison, la voiture, etc...
Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie.
Si on avait versé le sable en premier, il n'y aurait eu de place pour
rien d'autre, ni les billes ni les balles de golf. C'est la même chose
dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps
pour les petites choses, nous n'aurons jamais de place pour les choses
vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales
pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d'aller
chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer
ses loisirs favoris. Il restera toujours du temps pour faire le
ménage, réparer le robinet de la cuisine… Occupez-vous des balles de
golf en premier, des choses qui importent vraiment. établissez des
priorités, le reste n'est que du sable. » Un des étudiants leva alors
la main et demanda ce que représente le café. Le professeur sourit et
dit :« C'est bien que tu demandes. C'était juste pour vous démontrer
que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura
toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. »
Wednesday, May 06, 2009
Termes légaux
Histoire de vous écoeurer un peu, je vais vous montrer jusqu'où je pousse ma curiosité intellectuelle ;-)
Commanditaire n.m:
Commandité n.:
Commandite n.f.:
Mandant n.:
Mandataire n.:
Source: Reid, Hubert, Dictionnaire de droit québécois et canadien, 3e édition, Wilson & Lafleur Ltée, 2004.
Commanditaire n.m:
Membre d'une société en commandite qui ne détient aucun pouvoir de gestion et qui n'est responsable des dettes de la société que jusqu'à concurrence de son apport.
Engl.: Limited partner
Commandité n.:
Membre d'une société en commandite qui détient tout les pouvoirs de gestion et de direction, et qui répond, conjointement et solidairement avec les autres commandités et de façon illimitée, des dettes de la société.
Engl.: General partner
Commandite n.f.:
Fraction du capital d'une société en commandite qui a été versée par les commanditaires
Engl.: Limited partership
Mandant n.:
Personne qui confère un mandat à une autre.
Mandataire n.:
Personne à qui est conféré un mandat.
Source: Reid, Hubert, Dictionnaire de droit québécois et canadien, 3e édition, Wilson & Lafleur Ltée, 2004.
Sunday, May 03, 2009
Vendre ses photos
Voilà où j'en suis avec ce projet.
Je vais en vendre si je peux. C'était hors de question à mon retour de voyage. Pourtant maintenant que je m'y intéresse, mes photos ne sont pas du bon format, trop petites. J'avais peur de perdre les droits sur des photos que je jugeais, bien personnellement superbes. Le temps a passé et rien ne s'est encore produit avec ces photos alors je vais tenter d'en vendre histoire de voir si j'en suis capable.
La démarche se fait assez simplement, je vais lister ici bas les sites qui font de la vente (les "middle man") de celui avec le jugement le plus facile au plus difficile à intégrer ;-)
Un article du photographe Mikhail Lavrenov qui explique bien comment s'y prendre.
Et finalement l'article de la presse, la source de tout ceci en autant que le lien survit.
Je ferai un amendement à ce site lorsque je réussirai ;-)
Je vais en vendre si je peux. C'était hors de question à mon retour de voyage. Pourtant maintenant que je m'y intéresse, mes photos ne sont pas du bon format, trop petites. J'avais peur de perdre les droits sur des photos que je jugeais, bien personnellement superbes. Le temps a passé et rien ne s'est encore produit avec ces photos alors je vais tenter d'en vendre histoire de voir si j'en suis capable.
La démarche se fait assez simplement, je vais lister ici bas les sites qui font de la vente (les "middle man") de celui avec le jugement le plus facile au plus difficile à intégrer ;-)
Pour faire mes premières armes:
Fotolia
YayMicro
Des sites plus complexes:
Dreamstime
BigStockphoto
Stockxpert
Et le top, les clubs VIP:
iStockphoto
Shutterstock
Un article du photographe Mikhail Lavrenov qui explique bien comment s'y prendre.
Et finalement l'article de la presse, la source de tout ceci en autant que le lien survit.
Je ferai un amendement à ce site lorsque je réussirai ;-)
Monday, April 20, 2009
Les apprentis sorciers
"La science a fait de nous des dieux avant même que nous ne méritions d'être des hommes."
les apprentis sorciers
Des nettoyants font proliférer les bactéries résistantes
Voilà enfin une étude qui démontre que les produits chimiques trop puissants ne nuisent pas seulement qu'à l'environnement.
Malheureusement, je dois dire que cet article me fait beaucoup penser à ma mère qui développe une manie de la propreté qui va d'un soupçon d'eau de javel pour nettoyer les ustensiles à du produit de nettoyage hyper-puissant utilisé pour laver le bain après chaque utilisation (au risque d'attraper des maladies de peau !).
Et si on retournait au vinaigre et au bicarbonate de soude!?
Des nettoyants font proliferer les bacteries resistantes
Malheureusement, je dois dire que cet article me fait beaucoup penser à ma mère qui développe une manie de la propreté qui va d'un soupçon d'eau de javel pour nettoyer les ustensiles à du produit de nettoyage hyper-puissant utilisé pour laver le bain après chaque utilisation (au risque d'attraper des maladies de peau !).
Et si on retournait au vinaigre et au bicarbonate de soude!?
Des nettoyants font proliferer les bacteries resistantes
Tuesday, April 07, 2009
No VietCong Ever Called Me Nigger
Sunday, April 05, 2009
Arecibo - Fermi - Drake
Un matin trop court où j'ai glissé d'une histoire à l'autre. "où j'ai butiné" serait plus précis.
Ne me demandez pas comment je suis tombé là dessus.
Paradoxe de FERMI
Sachant que la Voie lactée fait environ 50 000 année-lumière de rayon, une vitesse globale du front de colonisation de 1% de la vitesse de la lumière suffit à la coloniser entièrement en quelques millions d'années, ce qui est très peu par rapport à l'âge de la galaxie et au temps qu'il a fallu à la vie terrestre pour évoluer jusqu'à la civilisation humaine actuelle. Si les extraterrestres existent [...], la logique serait donc que ce phénomène s'est déjà produit, et même éventuellement plusieurs fois. Le paradoxe, c'est que nous n'en observons aucune trace.
Et le premier "clic" est allé à...
L'Équation de DRAKE
suggérée par Frank Drake en 1961 afin de tenter d'estimer le nombre potentiel de civilisations extraterrestres dans notre galaxie avec qui nous pourrions entrer en contact
Puis je suis revenu à Fermi, tentant de lire rapidement les neuf réponses possibles au paradoxe. Quand finalement j'ai trouvé cette curiosité: "Le Guide du voyageur galactique/The Hitchhiker's Guide to the Galaxy".
[...] où la planète Kriquète est dans un système entouré par un nuage de gaz opaques. Les habitants n'imaginent alors pas un instant qu'il puisse y avoir d'autres formes de vie ailleurs que chez eux, ce jusqu'à ce qu'un vaisseau spatial ne s'écrase sur Kriquète.
Finalement j'ai terminé en laissant glisser ma curiosité sur l'hypothèse extra-terrestre
Les partisans de l'HET tendent à considérer certains cas d'ovnis résistant à toute explication prosaïque ou sociopsychologique (entre 15 et 30% des cas selon les enquêtes, 28% des Phénomènes Aérospatiaux Non-Identifiés selon le GEIPAN) comme pouvant être la manifestation d'une civilisation extraterrestre qui aurait atteint un niveau technologique très supérieur au notre venue examiner la Terre et ses habitants.
Voilà pour la quête extra-terrestre ;-)
Saturday, April 04, 2009
Pleutre
Martineau, Richard de son prénom, à parfois le talent pour choisir le mot d'impact requis.
Pleutre
Comme dans :
se dit d'un homme vil et lâche.
Pour le reste de l'article, tant que le lien survivra sur Cyberpresse
Pleutre
Comme dans :
"S'étant découvert un «souci» juridique après la première diffusion, Zone 3, producteur de l'émission, avait en effet décidé de ne pas la rediffuser. Cela avait franchement déplu à l'animateur Richard Martineau, qui avait qualifié le producteur de «pleutre»."
se dit d'un homme vil et lâche.
Pour le reste de l'article, tant que le lien survivra sur Cyberpresse
"Il intrigue"
Un mot qui en cache tant.
intrigue
Pratique secrète qu’on emploie pour faire réussir ou pour faire manquer une affaire.
intrigue
Pratique secrète qu’on emploie pour faire réussir ou pour faire manquer une affaire.
Tuesday, March 17, 2009
Laver à l'eau froide ou manger moins de viande?
Un article hyper intéressant sur Cyberpresse.
... et encore une fois je ne fais plus confiance à la permance des liens de Cyberpresse alors voici une version copiée:
"Publié le 11 mars 2009 à 07h11 | Mis à jour le 11 mars 2009 à 07h15
Laver à l'eau froide ou manger moins de viande?
La Presse Canadienne - Québec
Lequel de ces gestes a le plus d'impact quant à la protection de l'environnement: laver à l'eau froide? manger moins de viande? chauffer moins la nuit ou recycler? La réponse se trouve à la fin du texte.
Il s'agit de l'un des 24 gestes préconisés par Défi climat, une campagne annuelle de sensibilisation à la lutte aux changements climatiques, dont la deuxième édition se tient du 10 mars au 24 avril. Dès que l'on parle de réduire les émissions personnelles de gaz à effet de serre (GES), on prêche souvent à un converti.
«Il faut faire beaucoup de sensibilisation auprès du grand public, de façon différente, a affirmé la directrice générale du Fonds d'action québécois pour le développement durable, Véronique Jampierre, au cours d'une conférence de presse, mardi, à Québec. Les gens veulent agir, mais ne savent pas comment, ou quand ils le font, ils ne persévèrent pas.»
D'où l'idée de s'adresser aux entreprises et institutions pour solliciter la participation de la population.
On fait d'une pierre, deux coups: en relayant le message, les entreprises sont obligées de réfléchir sur leurs propres pratiques environnementales. Pour s'inscrire, elles doivent d'ailleurs compter sur un comité en environnement ou s'engager à en créer un.
L'an passé, les 130 entreprises impliquées ont permis à 25 000 individus de s'engager pour une réduction de 26 000 tonnes de GES, l'équivalent au retrait de 6347 voitures en circulation.
«On pense que c'est une formule gagnante, a dit le coordonnateur général adjoint d'Equiterre, Steven Guilbeault. À très court terme, on veut étendre la campagne à toute la province et, pourquoi pas, ensuite, à l'ensemble du pays. C'est aussi une façon de dire que nous sommes tous dans le même bateau: industries, gouvernements et individus ont la responsabilité d'agir.»
Les gestes et les réductions de GES peuvent sembler minimes, mais il faut bien commencer quelque part, a affirmé le conseiller municipal de Québec, Raymond Dion, mardi, à la conférence de presse.
Notamment «en arrêtant de vivre dans une société complètement axée sur l'auto», comme le faisait valoir le directeur général du Conseil général de l'environnement de Québec, Alexandre Turgeon.
Au-delà du fait que tout le monde doit faire sa part pour réduire la pollution, Défi climat permet une réflexion dans toutes les sphères publiques sur l'obligation pour le Québec d'opter pour un développement durable, «qui est un projet de société», a jugé Véronique Jampierre.
Alors, quels gestes comptez-vous poser?
Le plus vert, à domicile, constitue un véritable défi. Eliminer quatre repas de viande par semaine permet de diminuer de 416 kg les émissions de gaz carbonique par an, comparativement à diminuer le chauffage de trois degrés Celsius la nuit, (190 kg/an), recycler (30 kg/an) et laver à l'eau froide (12 kg/an)."
Ben maudit !
Alors je me suis dit d'où ils viennent ces chiffres !
Je me suis rendu sur le site de Défi Climat et j'ai retrouvé l'information à la page "Les gestes à poser".
Intéressant. Mais la viande c'est bon. Je creuse encore pour trouver la source. Cette donnée provient de Nature Québec. En fait le lien donne sur une publication de Nature Québec. Le site de l'organisme se trouve ici. C'est bon pour les données sur les émissions de méthane. J'abdique... en attendant qu'ils trouvent des façons de modifier la flore intestinale des bovins afin que moins de méthane ne soit produit.
Et voici, finalement, les actions en ordre décroissant d'impact sur le CO2 émis:
... et encore une fois je ne fais plus confiance à la permance des liens de Cyberpresse alors voici une version copiée:
"Publié le 11 mars 2009 à 07h11 | Mis à jour le 11 mars 2009 à 07h15
Laver à l'eau froide ou manger moins de viande?
La Presse Canadienne - Québec
Lequel de ces gestes a le plus d'impact quant à la protection de l'environnement: laver à l'eau froide? manger moins de viande? chauffer moins la nuit ou recycler? La réponse se trouve à la fin du texte.
Il s'agit de l'un des 24 gestes préconisés par Défi climat, une campagne annuelle de sensibilisation à la lutte aux changements climatiques, dont la deuxième édition se tient du 10 mars au 24 avril. Dès que l'on parle de réduire les émissions personnelles de gaz à effet de serre (GES), on prêche souvent à un converti.
«Il faut faire beaucoup de sensibilisation auprès du grand public, de façon différente, a affirmé la directrice générale du Fonds d'action québécois pour le développement durable, Véronique Jampierre, au cours d'une conférence de presse, mardi, à Québec. Les gens veulent agir, mais ne savent pas comment, ou quand ils le font, ils ne persévèrent pas.»
D'où l'idée de s'adresser aux entreprises et institutions pour solliciter la participation de la population.
On fait d'une pierre, deux coups: en relayant le message, les entreprises sont obligées de réfléchir sur leurs propres pratiques environnementales. Pour s'inscrire, elles doivent d'ailleurs compter sur un comité en environnement ou s'engager à en créer un.
L'an passé, les 130 entreprises impliquées ont permis à 25 000 individus de s'engager pour une réduction de 26 000 tonnes de GES, l'équivalent au retrait de 6347 voitures en circulation.
«On pense que c'est une formule gagnante, a dit le coordonnateur général adjoint d'Equiterre, Steven Guilbeault. À très court terme, on veut étendre la campagne à toute la province et, pourquoi pas, ensuite, à l'ensemble du pays. C'est aussi une façon de dire que nous sommes tous dans le même bateau: industries, gouvernements et individus ont la responsabilité d'agir.»
Les gestes et les réductions de GES peuvent sembler minimes, mais il faut bien commencer quelque part, a affirmé le conseiller municipal de Québec, Raymond Dion, mardi, à la conférence de presse.
Notamment «en arrêtant de vivre dans une société complètement axée sur l'auto», comme le faisait valoir le directeur général du Conseil général de l'environnement de Québec, Alexandre Turgeon.
Au-delà du fait que tout le monde doit faire sa part pour réduire la pollution, Défi climat permet une réflexion dans toutes les sphères publiques sur l'obligation pour le Québec d'opter pour un développement durable, «qui est un projet de société», a jugé Véronique Jampierre.
Alors, quels gestes comptez-vous poser?
Le plus vert, à domicile, constitue un véritable défi. Eliminer quatre repas de viande par semaine permet de diminuer de 416 kg les émissions de gaz carbonique par an, comparativement à diminuer le chauffage de trois degrés Celsius la nuit, (190 kg/an), recycler (30 kg/an) et laver à l'eau froide (12 kg/an)."
Ben maudit !
Alors je me suis dit d'où ils viennent ces chiffres !
Je me suis rendu sur le site de Défi Climat et j'ai retrouvé l'information à la page "Les gestes à poser".
Intéressant. Mais la viande c'est bon. Je creuse encore pour trouver la source. Cette donnée provient de Nature Québec. En fait le lien donne sur une publication de Nature Québec. Le site de l'organisme se trouve ici. C'est bon pour les données sur les émissions de méthane. J'abdique... en attendant qu'ils trouvent des façons de modifier la flore intestinale des bovins afin que moins de méthane ne soit produit.
Et voici, finalement, les actions en ordre décroissant d'impact sur le CO2 émis:
Description (en ordre décroissant d'impact) | Économie (Kg de CO2/an) |
---|---|
22. J’achète des crédits de carbone pour compenser mes émissions de gaz à effet de serre (GES) reliées à un voyage en avion: (aux Caraïbes) | 1316 |
19. J’adopte la formule de l’autopartage plutôt que de posséder un véhicule : | 1200 |
20. Si je dois remplacer mon véhicule, j’opte pour un véhicule à faible consommation d’essence (6,5 l/100km) : | 1008 |
15. J’adopte de bonnes habitudes de conduite automobile : respect des limites de vitesse, pression adéquate des pneus et non-utilisation du climatiseur en ville : | 990 |
21. J’effectue une mise au point régulière de mon véhicule : | 620 |
17. Je prends les transports collectifs pour me rendre au travail, à l’université ou au cégep, plutôt que de prendre ma voiture : (Montréal, 5 jours/semaine) | 555 |
12. J’élimine 4 repas de viande par semaine: | 416 |
8. Je privilégie l’achat d’aliments produits au Québec : | 340 |
10. À la maison, j’abaisse la température de 3°C la nuit ou de 1°C pendant toute la journée: | 190 |
18. Je marche ou je prends la bicyclette pour me rendre au travail, à l’université ou au cégep, plutôt que de prendre ma voiture : (Montréal, 1 jour/semaine) | 190 |
14. En automobile, je ne fais pas tourner le moteur inutilement, soit plus de 10 secondes au départ et à l’attente: | 130 |
24. Au centre-ville, je remplace un déplacement en taxi par la marche ou le transport en commun, une fois par semaine : | 120 |
3-Je composte les matières organiques à la maison | 100 |
16. Je fais du covoiturage pour me rendre au travail, à l’université ou au cégep, plutôt que de me déplacer en auto solo : (Montréal, 1 jour/semaine) | 95 |
23. Quand je fais un déplacement entre Montréal et Québec, je le fais autrement qu’en auto solo : | 66 |
6-Je n’utilise plus de tondeuse à essence, mais un modèle manuel ou électrique : | 48 |
7-Je choisis des appareils homologués Energy Star lorsque je dois acheter ou remplacer l’un des équipements suivants : lave-vaisselle, réfrigérateur, laveuse, imprimante ou téléviseur : | 38 |
4-Je dépose dans le bac de récupération toutes les matières recyclables acceptées: | 30 |
9. Je réduis de 50 % la quantité de papier utilisé : impressions recto verso, courriels, documents et factures électroniques, etc. : | 28 |
1-Je remplace deux lavages à l’eau chaude par deux lavages à l’eau froide chaque semaine : | 12 |
5-Je me sers de sacs réutilisables : | 12 |
2-Je renonce à mon climatiseur de fenêtre à la maison : | 11 |
11. Je plante un arbre ou j’en parraine la plantation: | 10 |
13. Je prends une courte douche plutôt qu’un bain : | 9 |
Emphytéotique
Dans l'artice de Sara Champage sur la maison de la terre il est fait mention de
" [...] Hydro-Québec, qui a cédé un de ses terrains par emphytéose pour 50 ans [...] "
Le mot me disait quelque chose, j'en saisissais le sens mais pourquoi pas en connaître toute la portée ;-)
Comme j'ai peur que l'article ne soit effacé, encore, je le copie ici bas:
"Publié le 23 février 2009 à 07h14 | Mis à jour le 23 février 2009 à 07h22
Maison développement durable: Équiterre fait rager les écolos purs et durs
Sara Champagne - La Presse
Greenpeace se distancie du projet. La coalition Québec-Kyoto et l'Association de la lutte contre la pollution atmosphérique ont déjà ouvertement dénoncé l'idée. Malgré tout, Équiterre persiste et signe avec son projet de construction d'une Maison du développement durable, au centre-ville, en plein coeur du Quartier des spectacles.
L'organisme, déjà partenaire d'Hydro-Québec dans ce projet, vient de conclure un partenariat avec Bell Canada et s'apprête à lancer une campagne de financement auprès des entreprises privées, a appris La Presse. De quoi faire grincer des dents les écologistes purs et durs, qui clament qu'il faut absolument maintenir «une distance» entre les organismes et les compagnies pour assurer une «objectivité environnementale.»
Grâce à Hydro-Québec, qui a cédé un de ses terrains par emphytéose pour 50 ans, à l'angle des rues Sainte-Catherine et Clark, Équiterre a bon espoir de faire sortir de terre son siège social au mois de mai, pour une ouverture à l'automne 2010. Actuellement, des tests sont réalisés sur le site afin d'installer un audacieux système de géothermie qui alimentera tout le bâtiment.
Au début du mois de février, le projet a franchi une étape importante en obtenant l'appui des élus de l'arrondissement de Ville-Marie. Les citoyens du quartier qui sont en désaccord avec le projet ont jusqu'au 27 février pour demander un référendum. Après cette date, il sera trop tard. «Il ne restera qu'à approuver le projet», précise Jacques-Alain Lavallée, porte-parole de l'arrondissement, qui ajoute qu'on n'aura jamais fait aussi vert en matière de construction à Montréal.
La future Maison du développement durable enfreint toutefois les règles d'urbanisme avec ses six étages projetés, soit cinq mètres de plus que les limites permises dans le secteur. Même si des places de stationnement doivent obligatoirement être aménagées, selon le règlement, Équiterre a d'autre part décidé de suivre complètement les notions de développement durable en demandant une dérogation pour bannir les véhicules au profit de 40 places pour vélos réparties à l'extérieur et à l'intérieur de l'édifice.
Quant à Hydro-Québec, elle pousse l'audace plus loin en acceptant d'aménager une sorte de parc écologique entre la nouvelle construction et le Théâtre du Nouveau Monde, l'institution voisine. La garderie Le Petit Réseau, qui accueille les enfants des employés d'Hydro-Québec, emménagera dans la Maison du développement durable et accueillera les enfants des employés des organismes locataires.
«Nous sommes mal à l'aise, explique André Bélisle, de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique. On remarque depuis déjà un bon moment qu'Équiterre ne critique pas beaucoup Hydro-Québec. Et on se demande par ailleurs pourquoi l'organisme reçoit plus d'argent du gouvernement que tous les organismes environnementaux du Québec réunis.»
Afin de calmer le jeu, Équiterre a rencontré une vingtaine d'organismes pour expliquer le projet. «ll est habituel que les organismes reçoivent des sources de financement de toutes sortes, précise François Boulanger, coordonnateur énergie, transports et bâtiments d'Équiterre. On pense que notre approche est correcte.»
Grâce à ce projet, Équiterre ambitionne d'aller chercher une certification platine, la plus haute distinction Leed en matière de construction. Afin d'y parvenir, il est prévu d'aménager un toit vert et un bistro de 80 places qui servira bio, local et équitable. La Maison étudie aussi les façons de récupérer les matières organiques, soit en les compostant ou en les acheminant dans un centre de transformation. Enfin, le vitrage sera triple afin de réduire les pertes d'énergie.
La Maison en bref
La Maison verte abritera neuf organismes: Équiterre, le centre de la petite enfance Petit Réseau, le Centre québécois du droit de l'environnement, le Conseil régional de l'environnement (CRE) de Montréal, Environnement Jeunesse, la Fondation David Suzuki, Option Consommateurs, le Regroupement de services Éco-quartiers et le Regroupement national des conseils régionaux de l'environnement du Québec. Le cinquième étage est encore à louer à un partenaire éventuel.
Coût du projet: 30 millions, payés par le privé et une subvention de 7 millions du gouvernement du Québec.
Il s'agira d'un édifice de six étages, avec rez-de-chaussée vitré, ouvert au public: bistro bio de 80 places, centre de conférence de 100 places et atrium. Il comportera aussi un Centre d'interprétation sur le bâtiment vert et sur le développement durable."
" [...] Hydro-Québec, qui a cédé un de ses terrains par emphytéose pour 50 ans [...] "
Le mot me disait quelque chose, j'en saisissais le sens mais pourquoi pas en connaître toute la portée ;-)
Comme j'ai peur que l'article ne soit effacé, encore, je le copie ici bas:
"Publié le 23 février 2009 à 07h14 | Mis à jour le 23 février 2009 à 07h22
Maison développement durable: Équiterre fait rager les écolos purs et durs
Sara Champagne - La Presse
Greenpeace se distancie du projet. La coalition Québec-Kyoto et l'Association de la lutte contre la pollution atmosphérique ont déjà ouvertement dénoncé l'idée. Malgré tout, Équiterre persiste et signe avec son projet de construction d'une Maison du développement durable, au centre-ville, en plein coeur du Quartier des spectacles.
L'organisme, déjà partenaire d'Hydro-Québec dans ce projet, vient de conclure un partenariat avec Bell Canada et s'apprête à lancer une campagne de financement auprès des entreprises privées, a appris La Presse. De quoi faire grincer des dents les écologistes purs et durs, qui clament qu'il faut absolument maintenir «une distance» entre les organismes et les compagnies pour assurer une «objectivité environnementale.»
Grâce à Hydro-Québec, qui a cédé un de ses terrains par emphytéose pour 50 ans, à l'angle des rues Sainte-Catherine et Clark, Équiterre a bon espoir de faire sortir de terre son siège social au mois de mai, pour une ouverture à l'automne 2010. Actuellement, des tests sont réalisés sur le site afin d'installer un audacieux système de géothermie qui alimentera tout le bâtiment.
Au début du mois de février, le projet a franchi une étape importante en obtenant l'appui des élus de l'arrondissement de Ville-Marie. Les citoyens du quartier qui sont en désaccord avec le projet ont jusqu'au 27 février pour demander un référendum. Après cette date, il sera trop tard. «Il ne restera qu'à approuver le projet», précise Jacques-Alain Lavallée, porte-parole de l'arrondissement, qui ajoute qu'on n'aura jamais fait aussi vert en matière de construction à Montréal.
La future Maison du développement durable enfreint toutefois les règles d'urbanisme avec ses six étages projetés, soit cinq mètres de plus que les limites permises dans le secteur. Même si des places de stationnement doivent obligatoirement être aménagées, selon le règlement, Équiterre a d'autre part décidé de suivre complètement les notions de développement durable en demandant une dérogation pour bannir les véhicules au profit de 40 places pour vélos réparties à l'extérieur et à l'intérieur de l'édifice.
Quant à Hydro-Québec, elle pousse l'audace plus loin en acceptant d'aménager une sorte de parc écologique entre la nouvelle construction et le Théâtre du Nouveau Monde, l'institution voisine. La garderie Le Petit Réseau, qui accueille les enfants des employés d'Hydro-Québec, emménagera dans la Maison du développement durable et accueillera les enfants des employés des organismes locataires.
«Nous sommes mal à l'aise, explique André Bélisle, de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique. On remarque depuis déjà un bon moment qu'Équiterre ne critique pas beaucoup Hydro-Québec. Et on se demande par ailleurs pourquoi l'organisme reçoit plus d'argent du gouvernement que tous les organismes environnementaux du Québec réunis.»
Afin de calmer le jeu, Équiterre a rencontré une vingtaine d'organismes pour expliquer le projet. «ll est habituel que les organismes reçoivent des sources de financement de toutes sortes, précise François Boulanger, coordonnateur énergie, transports et bâtiments d'Équiterre. On pense que notre approche est correcte.»
Grâce à ce projet, Équiterre ambitionne d'aller chercher une certification platine, la plus haute distinction Leed en matière de construction. Afin d'y parvenir, il est prévu d'aménager un toit vert et un bistro de 80 places qui servira bio, local et équitable. La Maison étudie aussi les façons de récupérer les matières organiques, soit en les compostant ou en les acheminant dans un centre de transformation. Enfin, le vitrage sera triple afin de réduire les pertes d'énergie.
La Maison en bref
La Maison verte abritera neuf organismes: Équiterre, le centre de la petite enfance Petit Réseau, le Centre québécois du droit de l'environnement, le Conseil régional de l'environnement (CRE) de Montréal, Environnement Jeunesse, la Fondation David Suzuki, Option Consommateurs, le Regroupement de services Éco-quartiers et le Regroupement national des conseils régionaux de l'environnement du Québec. Le cinquième étage est encore à louer à un partenaire éventuel.
Coût du projet: 30 millions, payés par le privé et une subvention de 7 millions du gouvernement du Québec.
Il s'agira d'un édifice de six étages, avec rez-de-chaussée vitré, ouvert au public: bistro bio de 80 places, centre de conférence de 100 places et atrium. Il comportera aussi un Centre d'interprétation sur le bâtiment vert et sur le développement durable."
Les produits bio
Thursday, March 12, 2009
Depeche Mode - Wrong
Une recommandation de DJ Céline,
Je vous la recommande à mon tour. Et le vidéo aussi ;-)
Je vous la recommande à mon tour. Et le vidéo aussi ;-)
Thursday, March 05, 2009
Les îles Diomedes
Iles situées au coeur du détroit de Bérhing, une américaine, une soviétique ;-)
C'est Fred qui m'a amené cette découverte ce soir!
Diomedes
C'est Fred qui m'a amené cette découverte ce soir!
Diomedes
Dominic Dufour
Lui il m'a fait tripper en masse avec une de ses créations ;-)
Pour ceux qui prétendent me connaître, osez me suggérer un bijou de sa collection ;-)
Site Web
Pour ceux qui prétendent me connaître, osez me suggérer un bijou de sa collection ;-)
Site Web
Wednesday, March 04, 2009
Acrostiche
Ben voilà, Acrostiche avec UN "c".
Nouveau mot ou mot ressuscité du profond de mon subconscient.
Finalement un poème avec un texte caché dans la première lettre de chaque vers.
Nouveau mot ou mot ressuscité du profond de mon subconscient.
Finalement un poème avec un texte caché dans la première lettre de chaque vers.
Bon !
Bon,
Yé temps que je m'y remette.
J'avais le goût de nourrir un autre site web de mes découvertes de nouveaux mots, de bonne adresses (resto ou sites d'escapade gourmande) ou finalement de site web décoiffant. Bref, au lieu de nourrir un autre site, je vais tout mettre ici.
De toute façon qui lit ce que j'y dépose ;-)
Bref, c'est pas mal beaucoup pour moi que j'écris ici ;-)
Pour les autres, j'espère que vous trouvez cela intéressant à tout le moins.
Yé temps que je m'y remette.
J'avais le goût de nourrir un autre site web de mes découvertes de nouveaux mots, de bonne adresses (resto ou sites d'escapade gourmande) ou finalement de site web décoiffant. Bref, au lieu de nourrir un autre site, je vais tout mettre ici.
De toute façon qui lit ce que j'y dépose ;-)
Bref, c'est pas mal beaucoup pour moi que j'écris ici ;-)
Pour les autres, j'espère que vous trouvez cela intéressant à tout le moins.
Friday, February 13, 2009
Sierpinski
Dans mon pélerinage quotidien sur xkcd...
Il a encore réussi à générer une interrogation: "C'est qui Sierpinski?"
Alors voilà le lien
et l'image du matin qui a démarré tout cela ;-)

Devrais-je ajouter... Bonne St-Valentin !!!
Il a encore réussi à générer une interrogation: "C'est qui Sierpinski?"
Alors voilà le lien
et l'image du matin qui a démarré tout cela ;-)

Devrais-je ajouter... Bonne St-Valentin !!!
Wednesday, February 11, 2009
Artiste de la rue
Et si l'on écrivait l'histoire de ces artistes de l'ombre du coin d'un oeil.
Ceux là qui pour quelques "groszy" vous livrent une parcelle de leur vie.
Musiciens de boîte à flûtes, gratteurs de guitare à contes ou raconteurs d'accordéon à chansons.
Toujours l'air triste, un peu, toujours la main ouverte, tendue.
Pourtant l'air absent, faux joyeux; ils mènent une vie de contrastes.
Natasha est piccoliste de grandes places animées. Ses airs léger emballent la foule et volent aux passants des sifflements de complicité. Son âme pourtant vogue sur les airs tristes du Dr. Jivago en lambeaux déchirés, errant dans la steppe desertée, congelée. Natasha s'exécute où son coeur l'appelle, près des tables en terrasse du bistrot ou des portes du caveau. Sa plus grande frousse, devoir entrer, bosser et y être prisonnière toute la journée.
Victor est directeur de boîte à musique. Il supervise le souffle des sifflets de bois, les pas de pantins de chaque coin ainsi que le ton de la musique accordée au roulement de la manivelle et aux profondeurs des pistons. Il s'installe toujours près de chez Dom Restauracyjny, Gessler, le resto avec de l'herbe pour plancher. Car il y trouve son ombre, et ses passants qu'il connaît tous par leurs paroles silencieuses et leurs regards curieux-timides. Sa plus grande crainte serait de quitter sa vie rythmée au battement de son bras tournant. Il souffre du regard quotidien de centaines de passants qui viennent et qui vont en souriant, hypocrites, poliement.
Anais, est charmeuse de corde à guitare. Envouteuse indienne, pareille, celles qu'elle gratte lui obéissent et chantent pour les auditeurs-passants des mélodies d'autre temps. Elle déploie son théâtre sur les pavés, adossée au rebord du trottoir, exposée. Ses genous sur le plastique, sur la pierre, sont usés, blessés. Son coeur congelé, tiraillé entre le désir de se lever et bouger et celui d'entendre tinter un "zloty" lancé, la fixe dans l'espoir. Ce qu'elle croit craindre le plus: perdre sa "liberté" d'aller.
Stalislav est clown. Sur son bloc, immobile, il tient la pose. Silencieux, les yeux vitreux, les muscles douloureux, il prendrait bien un repas, du repos, du soleil, juste un peu. Sans avoir à amuser petits derniers et grands bébés qui le font s'exécuter sans le payer. Il a mal à demain, pareil à l'aujourd'hui de sa peine; au présent de chaque minute où il doit cacher sous un sourire trop grand, trop rouge, trop accroché, sa détresse. Ainsi que toutes celles marquées dans les rides profondes qui s'expriment de chaque côté de ses yeux et qui servent de goutière la soirée arrivée. Il vit pour le souffle, le rire spontané, d'un enfant de passage. Il vit, moi je le dis, mais le clown se meurt.
Marie-Julie est dompteuse d'inconnu, exploratrice de civilisation, entraîneuse de voyageurs, éleveuse d'un quotidien différent de demain. Elle s'exécute partout du soir au matin. Peu importe la langue ou les coutumes du public elle s'y trouve, s'y ajuste et obtient ce pourquoi elle tend la main. Son théâtre elle le déroule où le vent veut bien la porter, où la nécessité se pointe le nez. Elle a la tête trouble de nouvelles idées, de projets, de choses à raconter, de questions à poser.
Mais devant elle, il n'y a que le passant inconnu pour l'écouter.
Ce qui la fait le plus reculer c'est de penser que jamais elle ne pourra quitter ce monde qu'elle n'a pas adopté.
SB - Pologne, 26 avril 2003
Ceux là qui pour quelques "groszy" vous livrent une parcelle de leur vie.
Musiciens de boîte à flûtes, gratteurs de guitare à contes ou raconteurs d'accordéon à chansons.
Toujours l'air triste, un peu, toujours la main ouverte, tendue.
Pourtant l'air absent, faux joyeux; ils mènent une vie de contrastes.
Natasha est piccoliste de grandes places animées. Ses airs léger emballent la foule et volent aux passants des sifflements de complicité. Son âme pourtant vogue sur les airs tristes du Dr. Jivago en lambeaux déchirés, errant dans la steppe desertée, congelée. Natasha s'exécute où son coeur l'appelle, près des tables en terrasse du bistrot ou des portes du caveau. Sa plus grande frousse, devoir entrer, bosser et y être prisonnière toute la journée.
Victor est directeur de boîte à musique. Il supervise le souffle des sifflets de bois, les pas de pantins de chaque coin ainsi que le ton de la musique accordée au roulement de la manivelle et aux profondeurs des pistons. Il s'installe toujours près de chez Dom Restauracyjny, Gessler, le resto avec de l'herbe pour plancher. Car il y trouve son ombre, et ses passants qu'il connaît tous par leurs paroles silencieuses et leurs regards curieux-timides. Sa plus grande crainte serait de quitter sa vie rythmée au battement de son bras tournant. Il souffre du regard quotidien de centaines de passants qui viennent et qui vont en souriant, hypocrites, poliement.
Anais, est charmeuse de corde à guitare. Envouteuse indienne, pareille, celles qu'elle gratte lui obéissent et chantent pour les auditeurs-passants des mélodies d'autre temps. Elle déploie son théâtre sur les pavés, adossée au rebord du trottoir, exposée. Ses genous sur le plastique, sur la pierre, sont usés, blessés. Son coeur congelé, tiraillé entre le désir de se lever et bouger et celui d'entendre tinter un "zloty" lancé, la fixe dans l'espoir. Ce qu'elle croit craindre le plus: perdre sa "liberté" d'aller.
Stalislav est clown. Sur son bloc, immobile, il tient la pose. Silencieux, les yeux vitreux, les muscles douloureux, il prendrait bien un repas, du repos, du soleil, juste un peu. Sans avoir à amuser petits derniers et grands bébés qui le font s'exécuter sans le payer. Il a mal à demain, pareil à l'aujourd'hui de sa peine; au présent de chaque minute où il doit cacher sous un sourire trop grand, trop rouge, trop accroché, sa détresse. Ainsi que toutes celles marquées dans les rides profondes qui s'expriment de chaque côté de ses yeux et qui servent de goutière la soirée arrivée. Il vit pour le souffle, le rire spontané, d'un enfant de passage. Il vit, moi je le dis, mais le clown se meurt.
Marie-Julie est dompteuse d'inconnu, exploratrice de civilisation, entraîneuse de voyageurs, éleveuse d'un quotidien différent de demain. Elle s'exécute partout du soir au matin. Peu importe la langue ou les coutumes du public elle s'y trouve, s'y ajuste et obtient ce pourquoi elle tend la main. Son théâtre elle le déroule où le vent veut bien la porter, où la nécessité se pointe le nez. Elle a la tête trouble de nouvelles idées, de projets, de choses à raconter, de questions à poser.
Mais devant elle, il n'y a que le passant inconnu pour l'écouter.
Ce qui la fait le plus reculer c'est de penser que jamais elle ne pourra quitter ce monde qu'elle n'a pas adopté.
SB - Pologne, 26 avril 2003
Un inconnu... au détour du chemin
J'ai reçu ceci par personne interposée. Je suis allé fouiner sur YouTube histoire de voir... et j'ai vu.
Intéressant.
Un musicien de rue était debout dans l'entrée de la station L'Enfant Plaza du métro de Washington DC.
Il a commencé à jouer du violon.
C'était un matin froid, en janvier dernier.
Il a joué durant quarante-cinq minutes.
Pour commencer, la chaconne de la 2e partita de Bach, puis l'Ave Maria de Schubert, du Manuel Ponce, du Massenet et de nouveau Bach.
A cette heure de pointe, vers 8h du matin, quelque mille personnes ont traversé ce couloir, pour la plupart en route vers leur boulot.
Après trois minutes, un homme d'âge mûr a remarqué qu'un musicien jouait.
Il a ralenti son pas, s'est arrêté quelques secondes puis a démarré en accélérant.
Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : en continuant droit devant, une femme lui a jeté l'argent dans son petit pot.
Quelques minutes plus tard, un quidam s'est appuyé sur le mur d'en face pour l'écouter mais il a regardé sa montre et a recommencé à marcher..
Il était clairement en retard.
Celui qui a marqué le plus d'attention fut un petit garçon qui devait avoir trois ans.
Sa mère l'a tiré, pressée mais l'enfant s'est arrêté pour regarder le violoniste.
Finalement sa mère l'a secoué et agrippé brutalement afin que l'enfant reprenne le pas.
Toutefois, en marchant, il a gardé sa tête tournée vers le musicien.
Cette scène s'est répétée plusieurs fois avec d'autres enfants.
Et les parents, sans exception, les ont forcés à bouger.
Durant les trois quarts d'heure de jeu du musicien, seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l'écouter un temps.
Une vingtaine environ lui a donné de l'argent tout en en continuant leur marche.
Il a récolté 32 dollars.
Quand il a eu fini de jouer, personne ne l'a remarqué.
Personne n'a applaudi.
Une seule personne l'a reconnu, sur plus de mille personnes.
Personne ne se doutait que ce violoniste était Joshua Bell, un des meilleurs musiciens sur terre.
Il a joué dans ce hall les partitions les plus difficiles jamais écrites, avec un Stradivarius de 1713 valant 3,5 millions de dollars !
Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston était « sold out » avec des prix avoisinant les 100 dollars la place..
C'est une histoire vraie.
Joshua Bell jouant incognito dans une station de métro a été organisé par le « Washington Post » dans le cadre d'une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d'action des gens.
Les questions étaient :
-Dans un environnement commun, à une heure inappropriée, pouvons-nous percevoir la beauté ?
-Nous arrêtons-nous pour l'apprécier ?
-Pouvons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu?
Une des possibles conclusions de cette expérience pourrait être :
si nous n'avons pas le temps pour nous arrêter et écouter l'un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées, à côté de combien d'autres choses exceptionnelles passons-nous ?
Intéressant.
Un musicien de rue était debout dans l'entrée de la station L'Enfant Plaza du métro de Washington DC.
Il a commencé à jouer du violon.
C'était un matin froid, en janvier dernier.
Il a joué durant quarante-cinq minutes.
Pour commencer, la chaconne de la 2e partita de Bach, puis l'Ave Maria de Schubert, du Manuel Ponce, du Massenet et de nouveau Bach.
A cette heure de pointe, vers 8h du matin, quelque mille personnes ont traversé ce couloir, pour la plupart en route vers leur boulot.
Après trois minutes, un homme d'âge mûr a remarqué qu'un musicien jouait.
Il a ralenti son pas, s'est arrêté quelques secondes puis a démarré en accélérant.
Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : en continuant droit devant, une femme lui a jeté l'argent dans son petit pot.
Quelques minutes plus tard, un quidam s'est appuyé sur le mur d'en face pour l'écouter mais il a regardé sa montre et a recommencé à marcher..
Il était clairement en retard.
Celui qui a marqué le plus d'attention fut un petit garçon qui devait avoir trois ans.
Sa mère l'a tiré, pressée mais l'enfant s'est arrêté pour regarder le violoniste.
Finalement sa mère l'a secoué et agrippé brutalement afin que l'enfant reprenne le pas.
Toutefois, en marchant, il a gardé sa tête tournée vers le musicien.
Cette scène s'est répétée plusieurs fois avec d'autres enfants.
Et les parents, sans exception, les ont forcés à bouger.
Durant les trois quarts d'heure de jeu du musicien, seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l'écouter un temps.
Une vingtaine environ lui a donné de l'argent tout en en continuant leur marche.
Il a récolté 32 dollars.
Quand il a eu fini de jouer, personne ne l'a remarqué.
Personne n'a applaudi.
Une seule personne l'a reconnu, sur plus de mille personnes.
Personne ne se doutait que ce violoniste était Joshua Bell, un des meilleurs musiciens sur terre.
Il a joué dans ce hall les partitions les plus difficiles jamais écrites, avec un Stradivarius de 1713 valant 3,5 millions de dollars !
Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston était « sold out » avec des prix avoisinant les 100 dollars la place..
C'est une histoire vraie.
Joshua Bell jouant incognito dans une station de métro a été organisé par le « Washington Post » dans le cadre d'une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d'action des gens.
Les questions étaient :
-Dans un environnement commun, à une heure inappropriée, pouvons-nous percevoir la beauté ?
-Nous arrêtons-nous pour l'apprécier ?
-Pouvons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu?
Une des possibles conclusions de cette expérience pourrait être :
si nous n'avons pas le temps pour nous arrêter et écouter l'un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées, à côté de combien d'autres choses exceptionnelles passons-nous ?
Monday, February 09, 2009
2nd base ?... Homerun !
Tuesday, February 03, 2009
Le saviez-vous ?
Je fouinais sur Franklin Delano Roosevelt lorsque j'ai appris qu'il était le seul président américain (32e) à avoir fait 4 mandats consécutifs. Wow.
Puis en regardant rapidement la bio des 2 autres qui ont essayé sans succès (Ulysses S. Grant (18e) & Theodore Roosevelt (26e)), j'ai découvert 2 autres anecdotes intéressantes:
L'origine probable du mot "Lobbyist" :
L'origine probable "la plus courante" du terme "Teddy Bear":
Pour le reste, les faits historiques sérieux, je compte sur votre curiosité et votre intelligence pour lire les articles. Et si je n'ai fait que vous donner le goût de les lire, j'aurai gagné mon pari.
Puis en regardant rapidement la bio des 2 autres qui ont essayé sans succès (Ulysses S. Grant (18e) & Theodore Roosevelt (26e)), j'ai découvert 2 autres anecdotes intéressantes:
L'origine probable du mot "Lobbyist" :
Grant est connu pour avoir fréquenté les salons de l'hôtel Willard, à Washington, pour évacuer les pressions dues à sa fonction. Beaucoup de gens tentaient de l'approcher alors qu'il franchissait l'entrée (lobby en anglais). Grant les appelait « ces sacrés lobbyist » ; c'est peut être l'origine du terme utilisé actuellement pour désigner les personnes qui abordent les législateurs pour tenter d'influencer leur vote.
L'origine probable "la plus courante" du terme "Teddy Bear":
L'origine de « Teddy Bear », qui désigne un ours en peluche, fait l'objet de plusieurs anecdotes invérifiables. La plus courante est la suivante : en 1903, Roosevelt rentra bredouille d'une chasse à l'ours de quatre jours. Croyant faire plaisir, les organisateurs enchaînèrent un ourson noir au pied d'un arbre afin de satisfaire les cartouches du président : outré par cette mise à mort, Théodore Roosevelt fait libérer l'animal. Deux émigrants russes, Rose et Morris Mictchom, immortalisent cette histoire en créant un ours en peluche qu'ils baptisèrent Teddy. Le succès fut immédiat puisque, peu de temps après, ils créent leur propre atelier The Ideal Novelty in Toy Co.
Pour le reste, les faits historiques sérieux, je compte sur votre curiosité et votre intelligence pour lire les articles. Et si je n'ai fait que vous donner le goût de les lire, j'aurai gagné mon pari.
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